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sedit d'un bonbon qui pique legerement: acidules: legerement surs: agace: irrite legerement: ale : alises : alu: pour dire legerement papier, quand il est brillant : arque: legerement flechi: arquee: legerement flechie: assoupi: legerement endormi: asticoter : badiner: prendre les choses legerement: bancale: legerement de travers: basane: au
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre A CodyCross Solution ✅ pour SE DIT D'UN BONBON QUI PIQUE LÉGÈREMENT de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "SE DIT D'UN BONBON QUI PIQUE LÉGÈREMENT" CodyCross Faune Et Flore Groupe 163 Grille 5 1 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Faune Et Flore Solution 163 Groupe 5 Similaires
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Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Le Parc Le LacNyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Lun 24 Avr - 000 Max avait pris les mains de Nyx en y dĂ©posant un doux baiser, pour les lĂącher ensuite. Nyx eut juste le temps d’apercevoir ce que faisait Max, qu’elle se retrouva sur ses genoux en l’embrassant. Ce baiser. Son cƓur battait Ă  toute vitesse, il faisait un bruit fou et elle se demandait si Max l'entendait. Le baiser fut court, bien trop court pour elle, elle en voulait toujours plus. Max Ă©carta sa tĂȘte pour pouvoir la regardant dans les yeux et lui sourire. Nyx avait l’impression de fondre, elle sentait une chaleur monter, et elle espĂ©rait qu’elle n’était pas en train de rougir, mais ce fut ratĂ©. MĂȘme avec le maquillage, on pouvait apercevoir qu’elle Ă©tait en train de rougir. Elle avait un sourire aux lĂšvres, toujours ce petit sourire timide qu’elle donnait seulement Ă  cette personne. - Bonjour charmante demoiselle, on a quittĂ© les couleurs des serpents aujourd’hui ? demanda Max avec un petit sourire en coinNyx rigola face Ă  cette remarque, laissant apparaĂźtre ses dents blanches. Elle savait que Max allait dire quelque chose sur la façon dont elle s’était habillĂ©e aujourd’hui, mais ce qu’elle ne savait pas, c’était que tout cela Ă©tait pour elle. Nyx leva ses lunettes de soleil en les mettant sur sa tĂȘte pour ensuite passer ses bras autour du cou de Max en la regardant dans les yeux. La lumiĂšre lui faisait un peu mal, mais ce n’était pas important. Elle affichait toujours ce petit sourire aux lĂšvres. - Mmh, oui je me disais que je pourrais me reconvertir en Gryffondor aujourd’hui
 dit Nyx en faisant semblant d’ĂȘtre pensiveAprĂšs quelques instants, Nyx rigola. Elle, se reconvertir en Gryffondor ? Ça aurait pu ĂȘtre son Ă©pouventard tiens ! Elle rigola Ă  cette pensĂ©e. En effet, si elle se reconvertissait en Gryffondor, ça arrangerait beaucoup sa famille. Mais, elle Ă©tait une Serpentard et elle ne changerait ça pour rien au monde. - Je rigole bien sĂ»r, dit Nyx en souriant, mais oui j’ai voulu quittĂ© les couleurs des serpents aujourd’hui
 mais rien avoir avec les lions, c’est juste que le rouge met en valeur les brunes je trouve, dit Nyx d’un ton innocent en affichant toujours un sourire et en levant les yeux Nyx regarda de nouveau Max, et elle devait se l’avouer, sa copine Ă©tait vraiment magnifique. Que dirait ses parents s’ils savaient qu’elle sortait avec une fille ? Ils mettraient sĂ»rement la faute sur la maison de Serpentard, car c’est une maison de dĂ©vergondĂ©s ». Mais, elle s’en fichait, ce qu’elle ressentait pour cette personne Ă©tait bien trop fort et elle ne voulait pas gĂącher tout ça. Elle dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres de Max. Elles Ă©taient si douces. Quand le baiser finit, Nyx regarda les livres qui Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© d’elles. Encore des rĂ©visions. Elle n’était pas surprise, et rigola. - Tu n’arrĂȘteras donc jamais ? demande Nyx d’un ton moqueur et provocateur Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Lun 24 Avr - 2349 Comme elle pouvait ĂȘtre mignonne quand elle rougissait. Ses pommettes empourprĂ©es. Son regard pĂ©tillant. Et son sourire. Son sourire timide qui avait le don de me faire perdre tout mes moyens. Tout mon sĂ©rieux. Je ne resistais donc pas longtemps Ă  l'embrasser de nouveau juste avant qu'elle ne prenne la Mmh, oui je me disais que je pourrais me reconvertir en Gryffondor aujourd’hui
Sa rĂ©ponse me surprit. Sur l'instant, je voulais bien avouer y avoir crus. Je m'Ă©tais reculĂ©e. Les yeux grands ouverts. Une expression de surprise sur le visage. C'Ă©tait forcĂ©ment une blague non? Nyx une griffondor? Pour moi elle serait plutĂŽt poufsouffle au regard de son caractĂšre doux et aimant lorsque nous sommes ensembles. Mais je devais avouer que serpentard lui allait bien avoir rigolĂ©, elle m'avoua la vĂ©ritable raison de la prĂ©sence de ce nƓud rouge. Et je ne pouvais le rouge te va Ă  lui souris. A la fois avec les lĂšvres mais aussi avec le regard. J'Ă©tais tellement heureuse de l'avoir prĂšs de moi. Dans mes bras. Je resserrais lĂ©gĂšrement mon emprise autour de sa taille fine. Et mon cƓur faillit encore une fois rater un battement lorsque son regard se posa Ă  nouveau sur moi aprĂšs un baiser. Trop court Ă  mon goĂ»t. -Tu n’arrĂȘteras donc jamais ? demanda-t-elle d’un ton moqueur et provocateur -Et bien figure toi que non. J'aime dĂ©couvrir de nouvelles choses et puis les examens approchent. Il me reste beaucoup de choses Ă  idĂ©e me vint alors Ă  l'esprit. Connaissant Nyx je doutais qu'elle accepte. Je savais que les cours n'Ă©taient pas toujours sa prioritĂ© et peut-etre qu'elle avait prĂ©vu un autre programme pour sa soirĂ©e. Mais je lui demandais quand mĂȘme aprĂšs avoir scellĂ© nos lĂšvres en un doux Pourquoi ne resterais tu pas reviser un peu avec moi avant que le soleil se couche?DerniĂšre Ă©dition par Max Valdrak le Mar 25 Avr - 1458, Ă©ditĂ© 1 fois Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 25 Avr - 246 Les paroles de Max rĂ©sonnaient encore dans sa tĂȘte. Le rougir te va Ă  ravir ». Ces paroles Ă©taient, Ă  prĂ©sent, gravĂ©es dans sa tĂȘte. Un sourire aux lĂšvres, elle regardait toujours cette fille qui lui faisait perdre tout moyen seulement en posant son regard sur elle. Elle se demandait comment en Ă©tait-elle arrivĂ©e lĂ . D’habitude elle Ă©vitait de s’attacher aux gens avec qui elle filtrait, mais avec cette fille, c’était diffĂ©rent. Elle ne voulait pas s’arrĂȘter lĂ , elle ne voulait pas la perdre. Son regard toujours plongĂ© dans le sien, elle avait senti son Ă©treinte se resserrer. Elle adorait ça, ça la faisait craquer. - Et bien figure toi que non. J’aime dĂ©couvrir de nouvelles choses et puis les examens approchent. Il me reste beaucoup de choses Ă  revoir. Un sourire s’afficha sur le visage de Nyx. Une pure Serdaigle. Elle n’en avait jamais doutĂ©. Contrairement Ă  elle, Max donnait beaucoup d’importance aux examens. Elle n’avait toujours pas commencĂ© ses rĂ©visions, mais elle avait le temps selon elle, il restait encore quelques mois devant elle, c’était largement suffisant. Mais, elle savait trĂšs bien qu’elle allait s'y mettre au dernier moment, comme Pourquoi ne resterais-tu pas rĂ©viser un peu avec moi avant que le soleil se couche ? Nyx regarda Max incrĂ©dule. Elle ne s’attendait pas du tout Ă  cette proposition. Pourtant, Max savait trĂšs bien qu’elle n’aimait pas rĂ©viser. Et, pire encore, rĂ©viser toutes les deux Ă©taient une mission impossible pour elle. Comment pouvait-elle se concentrer avec une personne d’une beautĂ© aussi envoutante Ă  ses cĂŽtĂ©s ? Bien que Nyx avait un self-control extraordinaire, elle avait Ă©normĂ©ment de mal face Ă  Max. Peut-ĂȘtre, serait-il l’occasion d’obtenir quelque chose en retour en Ă©change des rĂ©visions ? Un sourire au coin apparu sur le visage de Nyx accompagnĂ© de ce regard qui voulait dire qu’elle prĂ©parait quelque chose. - Mmh
 tu me surprendras toujours, tu sais ? D’accord j’accepte, mais Ă  une condition, je veux quelque chose en Ă©change
 dit Nyx d’un ton provocateur, toujours avec ce regard et son sourire au coin, tu veux peut-ĂȘtre me proposer quelque chose
 mon amour ? demanda Nyx d’un ton innocent et toujours un peu provocateur C’était la premiĂšre fois qu’elle appelait Max ainsi. Mais, il n’y avait rien de sĂ©rieux, il s’agissait surtout de rigoler. Nyx avait ce petit air innocent accompagnĂ© de son sourire au coin qui voulait dire qu’elle voulait obtenir quelque chose. Nyx se demandait comment allait rĂ©agir Max. Elle Ă©vitait de jouer avec elle, le plus possible, mais elle n’avait pas pu s’en empĂȘcher Ă  cet instant. Elle avait un peu peur. Elle resserra un peu plus son Ă©treinte pour Ă©viter de la laisser partir si elle le voulait et attendit sa rĂ©action en la regardant dans les yeux de son regard vert Ă©meraude. Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Mar 25 Avr - 1353 Un Ă©clat de rire m'Ă©chappa. Son air surprit. DĂ©boussolĂ©. Je ne pouvais pas m'en empĂȘcher. Cela ne lui ressemblait pas. Et j'Ă©tais contente d'avoir rĂ©ussi Ă  lui faire prendre cette expression. Puis, un sourire en coin apparut sur son visage. J’arrĂȘtais de rire. MĂȘme si l'image d'une Nyx incrĂ©dule trottait toujours dans mon esprit. Elle prĂ©parait quelque chose. Je lui lançais un regard interrogateur. -[...] mon amour?Je me figeais sur les deux derniers mots. Oubliant presque la question. Ce surnom reconnait et se rĂ©pĂ©tait dans ma tĂȘte. Je fus lĂ©gĂšrement dĂ©stabilisĂ©e. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle m'appelait de la sorte. Cela avait rĂ©veillĂ© les papillons dans mon estomac. Un sourire timide, gĂȘnĂ©, fleurit sur mon visage. Puis, mon regard croisa le sien. Je me rappelais alors de la question. Je reflechis un court instant Ă  une proposition. Les yeux cherchant dans le ciel une idĂ©e. Soudain, des notes de musique sortirent de mon casque que je n'avais point Ă©teint. Une idĂ©e, j'en avais une maintenant. Mais allait-elle lui plaire? Je la regardais Ă  nouveau dans les yeux. Je posais un baiser sur ses lĂšvres et lui murmurais Ă  l'oreille ma demande tel un secret. Un doux sourire aux lĂšvres. -Et si je te faisais danser mon cƓur... Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 25 Avr - 1501 Max avait l’air dĂ©stabilisĂ©. Nyx avait peur qu’elle parte ; qu’elle parte loin d’elle. Elle regretta tout de suite de s’ĂȘtre lancĂ©e dans ce jeu avec celle qu’elle aimait. Pourquoi devait-elle toujours tout gĂącher ? Cependant, un sourire timide s’afficha sur le visage de Max. Elle avait l’air gĂȘnĂ© et le cƓur de Nyx se resserra. Son regard croisa le sien et l’instant d’aprĂšs elle regardait le ciel. Elle avait l’air pensive, Ă  quoi pouvait-elle penser ? Regrettait-elle d’ĂȘtre avec elle ? Son regard croisa de nouveau le sien pour dĂ©poser ensuite un baiser sur ses lĂšvres. Ces lĂšvres si douces qui Ă©tait pire qu’une drogue. Quelques instants plus tard, Nyx se redit et son estomac se contracta. Max Ă©tait en train de lui murmurer de douces paroles Ă  son oreille. Nyx ferma les yeux. Etait-elle au courant du pouvoir qu’elle avait sur elle ? - Et si je te fais danser mon cƓur
Une danse ? Avait-elle bien entendu ? Cette fille n’arrĂȘtera donc jamais de la surprendre. Nyx ne savait pas quoi rĂ©pondre face Ă  cette proposition. Elle savait danser, elle dansait souvent en soirĂ©e, mais le plus souvent, elle avait de l’alcool dans le sang ou elle Ă©tait dĂ©foncĂ©e, au choix. Soudain, des mots rĂ©sonnĂšrent dans sa tĂȘte. Mon cƓur ». Max ne lui avait jamais donnĂ© de petit surnom jusqu’à maintenant, elle avait une sensation bizarre, mais apaisante. Son cƓur battait Ă  toute vitesse. Elle regarda sa bien-aimĂ©e dans les yeux, avant de lui dĂ©poser un doux baiser dans le cou, une zone qui Ă©tait vraiment sensible selon elle. Un sourire sur son visage. Elle mordit ensuite sa lĂšvre infĂ©rieure en regardant Max, avant de dire - Une danse
 il me faudrait une bouteille de Whisky Pur feu dans ce cas, rigola Nyx en espĂ©rant que son ironie ne vexerait pas Max. Tu ne veux quand mĂȘme pas danser ici, devant tout le monde ? J’ai une rĂ©putation Ă  maintenir, dit Nyx d’un ton moqueur et provoquant Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Mer 26 Avr - 2235 Je frissonnais. Sur lĂšvres contre ma peau. Contre mon cou. Quelle agrĂ©able sensation. J'aurais aimĂ© qu'elle continu. Mais je me contentai de l'observer. Se mordant la lĂšvre. Je fondis Ă  nouveau. Et attendis la rĂ©ponse Ă  ma proposition. - Une danse
 il me faudrait une bouteille de Whisky Pur feu dans ce cas, dit- elle en L'alcool n'est pas nĂ©cessaire pour passer un bon moment, lui rĂ©pondis juste avant qu'elle ne continue. - Tu ne veux quand mĂȘme pas danser ici, devant tout le monde ? J’ai une rĂ©putation Ă  ton Ă©tait moqueur et provoquant. Mais je ne le relevais pas. Je me contentais de la regarder. Pensait-elle vraiment que j'abandonnerais aussi facilement? Elle avait tort. J'Ă©tais plutĂŽt tĂ©tue. Et j'avais espoir qu'en insistant un peu je puisse la faire danser. Je lui lançais alors un regard de dĂ©fi. Puis je lui demandai d'un ton aussi moqueur et provoquant que le sien. - Et pourquoi pas? Regarde autour de nous, rares sont les personnes qui nous prĂȘtent attention. Et puis, je suis persuadĂ©e que tu te dĂ©brouillerais merveilleusement bien...et sans une goutte d'alccol. J'accompagnais mes derniers mots d'un petit clin d’Ɠil discret. Sans attendre sa rĂ©ponse, j'attrapais d'une main le petit appareil de musique ensorcelĂ©. Je parcourus les diffĂ©rentes chansons. Laquelle pourrait bien lui faire plaisir? Mais bien sĂ»r. Mon choix se porta sur une chanson du vingtiĂšme siĂšcle. Un classique de TĂ©lĂ©phone. Une musique parfaite pour danser le rock. Je lançai donc la musique. Je tendais une main vers Nyx aprĂšs avoir remis mes lunettes aux contours rouges. - Me feriez vous l'honneur de m'accorder vous cette danse? demandais je avec un grand sourire Ă  la personne sur mes genoux. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Jeu 27 Avr - 1400 Nyx Ă©tait crispĂ©e devant elle. Il est vrai qu’il y avait une part de vĂ©ritĂ© dans ce qu’elle venait de dire, et Max l’avait remarquĂ©. Nyx dĂ©cida de rester muette, pour Ă©viter de blesser de nouveau sa copine. Sa copine, qui avait Ă  prĂ©sent un regard qu’elle connaissait bien. Un regard de dĂ©fi. AprĂšs quelques instants qui lui parurent une Ă©ternitĂ©, Max parla d’un ton qui ressemblait beaucoup au Et pourquoi pas ? Regarde autour de nous, rares sont les personnes qui nous prĂȘtent attention. Et puis, je suis persuadĂ©e que tu te dĂ©brouillerais merveilleusement bien
 et sans une goutte d’alcool. Nyx regardait autour d’elle. Il est vrai qu’il n’y avait presque personne dans les environs. Mais, danser, restait quand mĂȘme trĂšs gĂȘnant pour elle, elle n’était pas habituĂ©e Ă  faire ça, hors soirĂ©e. Avant qu’elle n’ait pu dire ou remarquer quelque chose, Max avait lancĂ© une musique. Une musique qui avait l’air plutĂŽt rythmĂ©, elle aimait beaucoup cette ambiance, et Max le savait trĂšs bien. D’ailleurs, elle ne s’était pas arrĂȘtĂ©e lĂ . Elle lui tendait Ă  prĂ©sent une main aprĂšs avoir remis ses lunettes, qui lui donnait un certain charme, mĂȘme si Nyx aimait Ă©normĂ©ment ses yeux. - Me feriez-vous l’honneur de m’accorder cette danse ? demanda Max, un grand sourire sur ses lĂšvresUn sourire apparu sur le visage de Nyx. On pouvait apercevoir ses dents blanches. Ses bras toujours autour du coup de sa copine, elle l’embrassa de nouveau avant de se lever. Elle remit elle aussi ses lunettes. Bonheur. La lumiĂšre avait diminuĂ©. Elle regardait Max, un petit sourire gĂȘnĂ©. Elle dĂ©fit un peu le nƓud de son foulard, laissant apparaĂźtre un peu plus son cou, et attrapa la main de Max et lui faisant un signe de tĂȘte qui n’était rien d’autre qu’un signe d’approbation. Elle savait qu’elle ne l’aurait pas lĂąchĂ© toute façon. Bien que Nyx Ă©tait plutĂŽt tĂȘtue dans son genre, Max l’était aussi, et beaucoup plus sur ce genre de choses. Alors, elle se laissa entraĂźner avec Max, sourire au coin
 Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Ven 28 Avr - 2044 LA de Nyx accordĂ©Un nouveau baiser. Un signe de tĂȘte comme rĂ©ponse. Un sourire complice sur mon visage. Je savais qu'elle n'avait jamais dansĂ© ce type de danse avant. Mais ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois que j'apprenais cela Ă  une dĂ©butante. J'Ă©tais sĂ»re que j'allais bien m'amuser avec ma copine. J'attendis qu'elle se lĂšve et je fis de mĂȘme. Je lui pris la main. Commençant Ă  lui donner le rythme. Je la regardais dans les yeux. Yeux dans lesquels je me perdis un instant. Plus rien n'existait. En cet instant, il n'y avait que elle, moi et la musique. Musique dont la voix du chanteur commençait Ă  se faire entendre. Mais je ne l'Ă©coutais pas vraiment. Je me laissais guider par la musique. L’entraĂźnant avec moi. La faisant tourner. La guidant. Sans dĂ©tacher mon regard d' je loupais ma passe. Ma main lĂącha malgrĂ© moi celle de ma cavaliĂšre. Elle faillit tomber. Par ma faute. Je la rattrapais de justesse, en un penchĂ© improvisĂ©. J’espĂ©rai qu'elle n'avait rien remarquĂ©. Je lui souris avant de reprendre la danse. Un sourire timide, gĂȘnĂ©e. Les derniĂšres notes retentirent. La danse se clĂŽturait. Je fis une petite courbette trĂšs formelle. Lui baisant la main au passage. Elle semblait rassurĂ©e. Elle Ă©tait si mignonne. J'avais encore une fois rĂ©ussi Ă  la dĂ©stabiliser. Une petite victoire. - Merci pour cette danse mon cƓur. Je la pris par la taille et l'embrassai tendrement. Je la serrais ensuite dans mes bras. Posant ma tĂȘte sur la sienne. Les yeux fermĂ©s. J'imprimais l'instant dans ma mĂ©moire. Comme tout les moments que je passais avec elle. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Sam 29 Avr - 1210 Max se leva Ă  son tour, sourire complice sur son visage. Nyx s’attendait Ă  tout de sa part, elle savait que sa copine Ă©tait une trĂšs bonne danseuse. Un frissonnement lorsqu’elle prit sa main. Quelques instants plus tard, Max l’entraĂźna avec elle, en la faisant tourner, et en la guidant, comme personne n’aurait pu mieux faire. Son regard dans le sien, elle ne voyait rien d’autre qu’elle. Elle Ă©tait tellement hypnothysĂ©e par son regard, que Nyx remarqua qu’elle Ă©tait en train de tomber seulement une fois que Max l’avait rattrapĂ©e. Un sourire timide sur son visage, presque gĂȘnĂ©e. Nyx lui sourit Ă  son tour, teint rosĂ© sur le visage. La mĂ©lodie de la musique paraissait tellement lointaine lorsque son regard croisait le sien. Max fit une petite courbette trĂšs formelle, avant mĂȘme qu’elle remarque que la musique Ă©tait arrivĂ©e Ă  son terme. Un baiser sur la main de Nyx, qui la fit craquer. Elle avait l’air d’ĂȘtre dans un compte de rĂȘves, mais le fait Ă©tait lĂ , tout cela Ă©tait bien rĂ©elle grĂące Ă  la perfection de Max. Nyx avait un petit sourire rassurĂ© sur le visage. - Merci pour cette danse mon cƓur. Mon cƓur ». DeuxiĂšme fois en une journĂ©e. Nyx essaya de cacher son visage qui Ă©tait fortement en train de rougir. Mais elle fut prise par la taille avant de pouvoir faire un quelconque mouvement. Ses lĂšvres. Ses lĂšvres Ă©taient sur les siennes. Cette sensation
 Son cƓur battait Ă  une vitesse impressionnante. Le baiser finit, Max Ă©tait dĂ©jĂ  en train de la serrer dans ses bras, posant sa tĂȘte sur la sienne. Ses bras Ă©taient tellement rassurants, elle aurait pu rester ainsi toute l’éternitĂ©. Elle ferma les yeux pour profiter de ce moment. Cependant, un autre sentiment montait en elle. Celui de la culpabilitĂ©. Nyx cachait Ă©normĂ©ment de choses Ă  Max, mais elle faisait ça pour son bien. Elle avait tout de mĂȘme peur que sa copine les dĂ©couvre. Les mensonges, les cachoteries. Elle savait qu’elle n’aimait pas ça, mais elle Ă©tait une Serpentard aprĂšs tout
 Yeux fermĂ©s dans les bras dans sa copine, elle essaya de faire disparaitre cet horrible sentiment, mais, en vain. Elle dĂ©cida donc, de se dĂ©faire de l’étreinte de sa copine. Un sourire mal assurĂ© sur son visage. Elle dĂ©posa un baiser rapide sur ses lĂšvres et se retourna ensuite, pour aller vers le banc oĂč il y avait les livres de Max. Dos Ă  sa copine, son sourire s’effaça Ă  cause de ce sentiment de culpabilitĂ©. Elle dĂ©testait lui mentir et elle se dĂ©testait elle-mĂȘme pour ça. Elle risquait de la perdre, Ă  n’importe quel moment, et c’était une chose qu’elle ne pouvait pas imaginer. Mais, si elle arrĂȘtait de lui mentir, elle la perdrait tout de mĂȘme. Le mensonge. VoilĂ  donc son dernier recourt. Une chose Ă©tait sĂ»re, si elle devait passer des ASPICS concernant les mensonges, elle obtiendrait un Optimal. Triste rĂ©alitĂ©, mais pas tellement pour Nyx. Le mensonge Ă©tait devenu une chose habituelle chez elle. ArrivĂ©e au banc, oĂč les bouquins de Max Ă©taient posĂ©s, elle en prit un au hasard. Elle ne prit pas la peine d’en lire le titre, car toute façon elle s’en fichait Ă©perdument. Elle se retourna vers Max, un sourire de nouveau prĂ©sent sur son visage. - Je n’arrĂȘterais jamais de te le rĂ©pĂ©ter, mais tu es une excellente danseuse, dit Nyx un sourire sincĂšre. Alors, que choisis-tu maintenant ? Le petit bouquin innocent, ou la mĂ©chante Nyx ? demanda-t-elle d’une voix enfantine et moqueuse en bougeant le livre Ă  cĂŽtĂ© de son visage Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Lun 1 Mai - 2348 LA de Nyx accordĂ©Mon esprit s'Ă©vadait. Je n'avais plus envie de penser Ă  rien. Juste elle et moi. Une Ă©treinte. Cela faisait longtemps que je n'avais pas prit quelqu'un dans mes bras. Trop longtemps. Cela m'avait manquĂ©. Ce sentiment de rĂ©confort. De protection. Comme si plus rien n'existant autour. Tous les problĂšmes, les doutes, les craintes balayĂ©s en un simple geste. Quelle douce sensation. Je ne voulais plus la lĂącher. Mais je ne pouvais la retenir. Nyx se dĂ©tacha de moi. J'ouvris les yeux pour la regarder et lui sourire. Cependant, je remarquais bien que quelque chose n'allait pas. Elle m'embrassa puis se retourna. Mon sourire fana laissant place Ă  l’inquiĂ©tude. Pourquoi ce sourire mal assurĂ©? Avais je fait quelque chose de mal? Les questions affluaient. Les rĂ©ponses, elles, manquaient Ă  l'appel. Que faire? Je restais lĂ . Silencieuse. Tandis que Nyx se rapprochait du banc. Je la regardais, sans bouger. Qu'allait elle faire? Elle prit un livre et se retourna pour me remercier pour la danse et me poser une question. Je devais faire un choix. Je la regardais sans comprendre. Je me rapprochais d'elle. Et, attrapais le livre. Je lui pris dĂ©licatement des mains en lui souriant. Je le posais sur le cĂŽtĂ©. Le livre sur le banc. Mes mains entourant son visage. Mon regard dans le sien. Ses derniers me revinrent Ă  l'esprit. -[...] ou la mĂ©chante Nyx ?Que devais je dĂ©duire de cela? Pourquoi se considerait-elle comme la mĂ©chnate? Est ce liĂ© Ă  ce changement brutal d'humeur? Toujours des questions. Mais aucunes rĂ©ponse. Je l'embrassais tendrement et pris la parole d'une voix douce. - Tout d'abord, laisse le livre de mon pĂšre tranquille. Et puis, ne dis pas que tu es la mĂ©chante. A mes yeux tu es quelqu'un d'exceptionnel et mĂȘme si tu as pu faire des erreurs, cela ne changera pas les sentiments que j'Ă©prouve pour toi. On a tous une part de bon et de mauvais. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 2 Mai - 1751 Max avait l’air de ne pas comprendre la demande de Nyx, ce qui Ă©tait comprĂ©hensible. Choisir entre un livre et elle ? Elle aurait dĂ» rĂ©flĂ©chir un peu avant de parler. Mais face Ă  sa copine, elle perdait tous les moyens
 Elle resta lĂ , livre Ă  la main, en soutenant le regard d’incomprĂ©hension de Max. Mais, lorsqu’elle se rapprocha d’elle, pour lui prendre dĂ©licatement le livre des mains, elle sourit. Livre Ă  prĂ©sent sur le banc. Lorsque ses mains avaient touchĂ© son visage, Nyx frissonna, et ferma un instant les yeux, pour profiter du moment et se concentrer sur ce qu’elle aller dire. Mais au lieu de ça, elle dĂ©posa ses lĂšvres sur celles de Nyx. Un doux baiser, qui suffisait Ă  lui rĂ©chauffer le cƓur. Le moment tant redoutĂ© arriva. Cependant, Ă  la surprise de Nyx, Max prit une voix douce, toute mignonne - Tout d’abord, laisse le livre de mon pĂšre tranquille. [
]Malaise. Nyx pensait avec prit un livre de cours, mais elle avait ratĂ© mĂȘme ça, juste parce qu’elle n’avait pas vĂ©rifiĂ© ce qu’elle prenait dans les mains. Nyx savait qu’elle avait fait un faux pas, alors elle resta silencieuse, en Ă©coutant Max - [
] Et puis, ne dis pas que tu es la mĂ©chante. A mes yeux tu es quelqu’un d’exceptionnel et mĂȘme si tu as pu faire des erreurs, cela ne changera pas les sentiments que j’éprouve pour toi. On a tous une part de bon et de mauvais. Nyx regarda sa copine, incrĂ©dule. Un sourire Ă©tait apparu sur son visage. Un sourire timide. Mais, quelques secondes plus tard, son estomac et son cƓur se contractĂšrent. Encore ce sentiment la CulpabilitĂ©. Nyx hĂ©sita un instant Ă  tout rĂ©vĂ©ler Ă  Max, en repensant Ă  ses paroles. [
] cela ne changera pas les sentiments que j’éprouve pour toi. [
] ». Nyx n’en Ă©tait pas aussi sĂ»re qu’elle. Oui, nous avons tous une part de bon et de mauvais, mais en ce qui la concernait, elle avait plus de mauvais que de bon
 Nyx dĂ©cida donc de ne rien dire, et de continuer comme Ă  son habitude. Il Ă©tait mieux que Max ne sache rien pour l’instant, et tout ira pour le mieux. Nyx avait toujours ce petit sourire timide sur son visage, et regarda Max dans les yeux, avant de lui rĂ©pondre d’une voix aussi douce - Tu es beaucoup trop bien pour moi, mon amour
 Mais merci, tu fais ressortir le bon qui est en moi, mĂȘme si ce n’est qu’une petite partie, dit Nyx avec un petit sourire. Tu es adorable avec moi. Tu sais
 tu occupes une trĂšs grande partie de mon cƓur mĂȘme si des fois je ne le montre pas vraiment, continua-t-elle maladroitement. Je ne suis pas trĂšs douĂ©e avec ça, mais mes sentiments pour toi ne disparaĂźtront jamais, ou pour le moins, pas entiĂšrement. Ils seront toujours lĂ , dans mon cƓur
 Nyx le pensait vraiment. Et en disant cela, elle avait pris la main de Max pour la poser sur son cƓur qui battait Ă  la chamaille. Elle voulait lui prouver qu’elle avait un cƓur, parce qu’elle savait, que si elle dĂ©couvrait ce qu’elle faisait, tout cela pouvait changer d’un moment Ă  l’autre. AprĂšs un petit moment Ă  se regarder dans le blanc des yeux, Nyx dĂ©cida enfin de bouger, ou du moins d’essayer, car elle ne pouvait faire aucun mouvement, ces muscles ne voulaient pas rĂ©pondre. Elle dĂ©cida alors de reprendre la parole, mais d’une voix beaucoup plus joueuse, pour pouvoir Ă©viter ce petit moment, oĂč elle se rendait compte qu’elle n’était vraiment pas quelqu’un de bien, face Ă  une personne comme Max. - Alors
 on en Ă©tait oĂč
 ? Ah oui ! Les rĂ©visions, dit-elle pour changer de sujet, en reprenant son petit sourire au coin Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Jeu 4 Mai - 2343 Ce sourire. Toujours ce sourire. Ce mouvement de lĂšvres qui me faisait craquer. Un geste qui signifiait beaucoup. Timide et hĂ©sitant, mais avant tout sincĂšre. C'Ă©tait ce qui comptait le plus. Mon regard plantĂ© dans le sien. Quelque chose avait changĂ© dans ses yeux que je me plaisais Ă  contempler. Comme un non dit. Un regard qui trahit. Cependant, je n'arrivais point Ă  desceller ce qu'il me cachait. Cette pensĂ©e tourna en boucle dans ma tĂȘte. Toujours de nouvelles questions s'ajoutant et complĂ©tant les prĂ©cĂ©dentes. Les rĂ©ponses, elles, n'Ă©taient point au rendez vous. Puis une cƓur Ă  sentiments restais muette. Je ne savais quoi dire. Nyx n'Ă©tait pas souvent de celle qui se confit comme cela aussi facilement. Mon sourire s'Ă©tendit Ă  nouveau. Ses mots se rĂ©pĂ©taient en boucle dans ma tĂȘte. Comme si mon esprit allait les effacer d'un moment Ă  l'autre. Je sentais son cƓur sous ma main. Il battait Ă  la chamade. Aussi vite que le mien en cet instant. Je ne savais toujours pas quoi lui rĂ©pondre. Et mĂȘme, si j'avais su je n'aurais pas pu. Ma voix refusant de revenir. Soudain, je me rappelai d'une chose. Mais lorsque j'allais bouger. Nyx reprit la parole. Les rĂ©visions. J'avais faillis les oublier. Elles pouvaient bien attendre encore un peu. Je levais les yeux au ciel puis l'embrassai tendrement. Je rapprochais ma main de la poche de ma chemise. Celle se trouvant prĂ©s du cƓur. J'attendais de la croiser de nouveau pour lui glisser dans son sac ou sa poche dans les couloirs malgrĂ© elle. Mais elle se trouvait face Ă  moi. Je pris le petit bout de papier. Ramenant sa main Ă  l’horizontale, j'y dĂ©posai l'objet le cachant toujours. -Je suis sĂ»re que tu as bien plus de bon en toi que tu le laisses supposer. Ceci est pour toi, j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© que cela soit un aigle mais il Ă©tait trop compliquĂ© pour moi. Mais au moins quand on ne se verra pas, tu auras mon petit oiseau avec toi. MĂȘme si ce n'est pas grand petite grue sur sa paume que ma main dĂ©voila. Un simple origami. Un petit "je t'aime" inscrit et cachĂ©. En regardant en dessous elle le trouvera. Cet oiseau aux couleurs de nos deux maisons. Un petit souvenir Ă  garder si elle l'acceptait. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Dim 7 Mai - 1939 Max levait les yeux aux ciels. Nyx sentit la culpabilitĂ© remonter en elle. Avait-elle dit quelque chose de mal ? Mais cette sensation s’en alla quand Max l’embrassa tendrement. Elle ne se lassera jamais de ses lĂšvres. Elle les reconnaĂźtrait entre mille. Max dĂ©posa quelque chose dans sa main, avant qu’elle puisse sans rendre compte. Elle essaya de voir, mais sa main cachait cette chose. Que pouvait-elle bien ĂȘtre ? La curiositĂ© de Nyx monta en flĂšche. - Je suis sĂ»re que tu as bien plus de bon en toi que tu le laisses supposer. [
]Max ne savait pas de quoi elle parlait. Elle connaissait juste une façade de Nyx la meilleure. Mais, malheureusement, cette façade n’était qu’une minime partie de sa personne. Que dirait Max si elle connaissait l’autre partie de sa copine ? Celle qui ne devrait pas exister, mais qui pourtant, existe trĂšs bien. Nyx sourit tout de mĂȘme Ă  sa copine. Elle ne voulait pas qu’elle se doute de quelque chose. Elle le dĂ©couvrira trĂšs certainement un jour, mais pas maintenant. Pourquoi la faire souffrir, alors je peux Ă©viter ça ? » pensa [
] Ceci est pour toi, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que cela soit un aigle mais il Ă©tait trop compliquĂ© pour moi. Mais au moins, quand on ne se verra pas, tu auras mon petit oiseau avec toi. MĂȘme si ce n’est pas grand-chose. La main de Max dĂ©voila une petite grue en papier. En regardant mieux, Nyx aperçut un petit je t’aime » qui Ă©tait bien cachĂ©. Elle sourit face ce petit origami aux couleurs de leurs maisons. Nyx ne savait pas quoi dire. Elle resta muette, petit sourire aux lĂšvres, le teint lĂ©gĂšrement rosi. Nyx savait que Max avait beaucoup de talent, et elle adorait ça. Il Ă©tait certain que ce petit cadeau, elle ne le quittera Ă  prĂ©sent jamais. C’était loin d’ĂȘtre pas grand-chose » pour elle. En rĂ©alitĂ©, ça signifiait beaucoup. Elle Ă©prouvait de fort sentiment pour Max, et elle pourrait se sacrifier pour elle, elle en Ă©tait certaine. - Max
 commença Nyx d’une petite voix, Je t’aime, continua-t-elle en regardant sa copine dans les yeux. Nyx lui prit la main avant de continuer - Je te remercie pour ce petit oiseau, sache que c’est loin d’ĂȘtre pas grand-chose » pour moi. Il restera toujours sur moi, oĂč que j’irai, dit Nyx avec un petit sourireElle dĂ©posa ses lĂšvres sur celles de Max, en l’embrassant tendrement, et en essayant d’y mettre tout son amour. Elle voulait qu’elle sache Ă  quel point elle tenait Ă  elle, et que ce n’était pas de la comĂ©die. Quand le baiser prit fin, Nyx reprit la parole, d’une voix sincĂšre - Max
 je voulais que tu saches, que je ne veux pas te perdre, vraiment. Tu comptes Ă©normĂ©ment pour moi, et ce n’est pas un jeu. Quoi que je puisse faire, sache que je t’aime, d’accord ? lui dit Nyx accompagnĂ© d’un de ses sourires charmeursNyx avait dit ça en toute sincĂ©ritĂ©. MĂȘme si elle ne disait pas la vĂ©ritĂ© sur certaines choses, Ă  l’instant prĂ©sent, elle n’avait pas menti. Nyx avait toujours un petit sourire aux lĂšvres et elle dĂ©cida de soigneusement ranger le cadeau de Max dans son sac. Ensuite, elle voulait un peu dĂ©tendre l’atmosphĂšre, pour Ă©viter que Max commence Ă  avoir des doutes sur elle. Nyx lui prit donc la main, pour y dĂ©poser un baiser dessus, et se coller ensuite Ă  elle, pour lui chuchoter Ă  l’oreille - Tu sais
 si tu veux on peut rĂ©viser une autre fois, essaya de lui proposer Nyx d’un ton provocateur et amusĂ© Elina PetersonGryffondor Re On pique une petite tĂȘte ? Elina Peterson, le Ven 19 Mai - 2326 LA de Nyx et Max pour intervenirLe week-end enfin! Je ne me souviens pas vraiment de la semaine... l'alcool et la "cigarette" m'ont aidĂ© Ă  tenir le coup pendant les cours. Le soir je sortais en douce pour fumer et boire jusqu'Ă  avoir du mal Ă  rejoindre mon lit... Je m'effondrais ensuite et dormais d'une traite le peu d'heures oĂč il me restait avant la journĂ©e suivante... les jours se sont suivis... Identiques... seules les matiĂšres changeaient... Étrangement aujourd'hui je suis sobre de tout... Ni cigarette, ni alcool... Le problĂšme quand on consomme trop c'est que le corps s'habitue et pour avoir les mĂȘmes effets il en faut toujours plus... Du coup j'essaye de ne pas consommer la journĂ©e... Ça me tape sur les nerfs et je suis tendue. Une ballade au bord du lac me fera le plus grand bien... J'enfile une leggins noire et une chemise blanche un peu ample et longue. J'attache mes longs cheveux en un chignon lĂąchĂ©, enfile mes ballerines, attrape mes Ă©couteurs que je visse sur mes oreilles et mets l'une de mes musiques du moment Ă  fond pour ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©e par les bruits que j'approche du lac je fais un tour d'horizon pour ĂȘtre bien sure que je ne connais personne susceptible de me dĂ©ranger... Au moment oĂč je termine mon observation mon regard se pose sur un couple. Je souris... ils s'embrassent c'est mignon. Enfin mignon jusqu'au moment oĂč je m'aperçois qu'il s'agit de la vipĂšre de Nyx... Un sourire mauvais apparaĂźt sur mon visage, elle paraĂźt heureuse, son regard est clair, elle est sobre et d'apparence on dirait qu'elle est clean... Elle est douce avec sa copine, cette derniĂšre ressemble plus Ă  un garçon qu'Ă  une fille habillĂ©e comme ça mais je ne me laisse pas duper. Je tiens ma vengeance. J'ai encore les marques de ses coups sur mon visage, d'ailleurs ils ont commencĂ© Ă  virer au jaune vert tout moche. Je m'approche du couple en enlevant mes Tiens Spero... Je suis surprise de te trouver ici... D'habitude tu es plus du genre Ă  harceler les sorciers en contact avec les moldus, leur taper dessus oĂč te souler la tronche en fumant des substances pas trĂšs lĂ©gales non? Ah mince c'est vrai tu voulais pas que ta copine sache ce que tu es vraiment... Je suis vraiment dĂ©solĂ©... Sinon j'espĂšre que tu as apprĂ©ciĂ© la journĂ©e parce que la soirĂ©e risque d'ĂȘtre moins cool... Je la regarde pas dĂ©solĂ© du tout. Cette vipĂšre a pourri ma vie et ma scolaritĂ© dĂšs qu'elle en a eu l'occasion. Elle n'a que la monnaie de sa piĂšce. La roue tourne chĂ©rie et elle va faire trĂšs mal. Je sais que la vengeance n'est pas la solution avec ce genre de personne, elle va surement me faire payer cher les rĂ©vĂ©lations que je fais Ă  sa copine mais bon... C'est tellement jouissif de voir son visage ce dĂ©composer. J'ai quand mĂȘme une petite pointe de regret pour sa copine qui elle n'a rien demandĂ© mais bon c'est un dommage collatĂ©ral il y en a toujours. J'en suis une... Mais bon c'est la vie... J'attends de voir la rĂ©action de la serpentard et mĂȘme si je dois prendre d'autres coups ce n'est pas bien grave, au moins elle montrera son vrai visage au lieu de passer pour la petite sainte n'y touche qu'elle prĂ©tend ĂȘtre. Son petit manĂšge devant Benbow la derniĂšre fois me rend encore folle rien que d'y penser Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Sam 20 Mai - 1235 Une Ă©treinte CulpabilitĂ© ne cessant pas de Erreurs devenant des Choix. Les Ennuis se prĂ©sentant Ă  toute vitesse. Des ConsĂ©quences venant des Mensonges. Une Peur envoutant l’Esprit. Une voix raisonnant dans sa tĂȘte. Une voix qu’elle connaissait peu trop bien. Une voix qu’elle aurait apprĂ©ciĂ© ne pas entendre. Ne pas entendre ici. Ici, avec sa copine. Max. Elle ne mĂ©ritait pas ça. Elle ne mĂ©ritait pas de l’apprendre ainsi. Nyx savait dĂ©jĂ  qu’elle jouait avec le feu. Elle savait aussi que la vĂ©ritĂ© finirait par Ă©clater. Mais, elle ne pensait pas aussi rapidement. Surtout pas par cette personne. Cette personne qu’elle dĂ©testait plus Ă  cet instant prĂ©cis. Nyx n’avait qu’une seule envie. Lui lancer un Doloris en pleine tronche, jusqu’à ce qu’elle la supplie de la tuer. Noirceur triomphant sur Blancheur. Les TĂ©nĂšbres se faisant Simple LumiĂšre ne la faisant pas chavirer. Un pĂȘcheur cherchant de repĂȘcher la SĂ©rĂ©nité  Nyx serra les dents. MĂąchoire contractĂ©e. Poings serrĂ©s. Regardant cette personne qui avait fait irruption dans son couple. Cette personne qui avait Ă  prĂ©sent tous les pouvoirs face Ă  elle. Nyx n’aimait pas du tout ça. Elle n’osa pas regarder Max. Elle avait bien trop peur pour ça. Elle Ă©tait bien trop lĂąche. Elle savait trĂšs bien que ça n’allait pas bien se passer. Elle voulait tuer la Gryffondor sur place. Nyx connaissait la formule. Deux petits mots. Et tout serait fini. Mais, elle ne pouvait pas faire cela devant Max. Elle devait penser Ă  elle avant tout. Regard noir vers la Rouge et Or. Une petite voix dans sa tĂȘte lui disait qu’elle l’avait mĂ©ritĂ©. AprĂšs tout ce qu’elle lui faisait subir depuis toutes ses annĂ©es. Elle aussi aurait agis de la sorte, voir mĂȘme pire. A ce moment prĂ©cis, elle comprenait la Gryffondor. Elle voyait la satisfaction dans son visage. Elle avait rĂ©ussi son coup. Les pensĂ©es de Nyx n’arrĂȘtaient pas de se mĂ©langer. Plus rien n’allait. Elle avait besoin de fumer. LibĂ©rer son esprit. Elle voulait tuer Elina Ă  main nue. Cependant, une chose l’empĂȘcher d’agir ainsi. C’était Max. Elle devait penser Ă  elle. Mais, elle n’osait toujours pas se tourner vers elle pour la regarder. Courage en main. Il le Peur ne la lĂąchant plus. Nyx se tourna enfin pour regarder Max. Regard baissĂ© d’abord. Elle avait honte de lui avoir cachĂ© ce plein de choses. Elle leva enfin son regard vers elle. Essayant de parler. Aucun son ne sortit. Oubliant la prĂ©sence de la Gryffondor. L’ignorant. Elle lui rĂ©glera son compte plus tard Ă  cette harpie. Nyx serra les dents et se focalisa sur Max, pour ne pas laisser sa colĂšre exploser. AprĂšs quelques minutes, elle prit enfin la parole, voix cassĂ©e. - Max
 Rien de plus sorti pour l’instant. Mais, elle essaya de se concentrer. Elle hĂ©sita un instant Ă  nier tout ce qu’Elina avait dit. Cependant, ça allait juste empirer la chose. Rien de plus. - Je comptais t’en parler, vraiment. Crois-moi
 Mais, je ne voulais te perdre une nouvelle fois. Tu comptes beaucoup trop pour moi. Et ces histoires n’ont rien avoir avec toi et moi
 je ne suis pas la mĂȘme personne avec toi. Nyx pensait vraiment ce qu’elle avait dit. La regardant dans les yeux. La peur se faisait ressentir. Son cƓur battait Ă  toute vitesse. Elle s’en fichait si Elina avait tout entendu. Si elle voyait dans l’état dans laquelle elle avait rĂ©ussi Ă  la mettre. Une seule chose comptait Ă  ses yeux Ă  cet instant Ne pas perdre Max. Elle Ă©tait une autre personne en sa prĂ©sence. Car il n’y avait qu’elle qui comptait. Mais, la personne qu’elle est quand Max n’est pas lĂ , est une personne dĂ©testable. Qui n’a que des pensĂ©es sombres. Elina n’avait pas tout mentionnĂ©. SĂ»rement parce qu’elle n’était pas au courant. Une fois Poudlard fini, elle ne comptait pas rester bien sage
 Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Sam 20 Mai - 1537 Je ne savais plus trop quoi penser. Je savais qu’elle me cachait quelque chose. Mais je ne pouvais imaginer quoi. Au moment oĂč j’allais rĂ©pondre Ă  ma copine, une jeune fille Ă©tait arrivĂ©e. Elle avait parlĂ©. Dit des choses auxquelles je ne voulais pas croire. La personne qu’elle dĂ©crivait n’était point celle que je connaissais. Cela n’était pas possible
Et pourtant
Un regard vers Nyx et je savais avant mĂȘme qu’elle ne prenne la parole que la rouge et or n’avait pas menti. Je pouvais voir la culpabilitĂ© dans ses yeux. Je ne savais pas comment je devais rĂ©agir. MalgrĂ© la description qui m’en Ă©tait faite je ne pouvais pas me dĂ©tacher de l’esprit la vision gentille et douce que j’avais d’elle. Je comprenais maintenant mieux son attitude. Celle qu’elle avait avant la jeune fille vienne nous interrompre. Je comprenais mieux son regard qui semblait triste. Allait-elle tout me dire ? Peut-ĂȘtre. Pour l’heure elle restait aussi silencieuse que moi. Mais le silence qui devenait pesant fut brisĂ©. Sa voix. BrisĂ©e. HĂ©sitante. Pleine de remords. Me fit mal au cƓur. Elle parlait. Je l’écoutais. Sans l’interrompre. Je n’avais pas grand-chose Ă  dire. Je me retrouvais un peu perdue. Elle semblait l’ĂȘtre aussi. Puis elle se tut. Elle devait attendre une rĂ©ponse. Une rĂ©action. Mais je ne bougeais plus. FigĂ©e. Mes membres ne rĂ©pondaient plus. Mes pensĂ©es allaient dans tous les sens. Je cherchais quoi lui dire. Je la croyais quand elle me disait que je comptais beaucoup pour elle. Je la croyais quand elle disait qu’elle ne voulait pas me perdre Ă  nouveau. Moi non plus je ne le voulais un instant, je pensais fuir pour rĂ©flĂ©chir. Cependant, je m’étais promis de ne plus le faire. En particulier avec Nyx. Je devais alors trouver les mots justes. Cela Ă©tait compliquĂ©. Mais je m’y risquais
-Je te crois. Et mĂȘme si je n’aime pas ce que j’ai entendu cela ne change pas le fait que je t’aime. Je ne serais pas naĂŻve au point de te demander de changer pour moi. Je ne veux pas que tu changes pour moi. Mais pour toi. Je ne suis pas Ă©nervĂ©e contre toi. Tu dois avoir tes raisons pour agir ainsi. Cependant sache que si tu as besoins de quelqu’un pour t’aider Ă  aller vers l’avant je serais lĂ . Je serais toujours lĂ  pour toi. Je marquais une courte pause pour reprendre mon souffle. Mon cƓur battait un peu trop vite. Je la regardais dans les yeux. J’étais sincĂšre. Je parlais avec le cƓur et je savais qu’elle l’avait que j’ai dit tout Ă  l’heure, que tout le monde a un bon fond je le pense. La preuve quand tu es avec moi. Tu n’es pas une personne diffĂ©rente tu es toi. C’est juste une autre partie de ta personnalitĂ© qui s’exprime. Chacun a ses dĂ©fauts. Mais ceux-ci ne doivent pas dominer comme les pensĂ©es sombres. Je levais les yeux au ciel et souris Ă  ce que je venais de dire. RĂ©primant un lĂ©ger disant cela je dois passer pour une optimiste naĂŻve. Peut-ĂȘtre. Mais en dĂ©plaise aux autres c’est ce que je pense. Une personne n’est pas totalement bonne ou mauvaise. Blanc ou noir. Le monde est fait d’un nuancier de gris. A nous de trouver la teinte qui nous correspond. Je marquais une nouvelle pause remarquant que je m’étais encore Ă©loignĂ©e du sujet de discussion. -Tout cela pour dire, qu’il y a des raisons derriĂšre tout. Et si tu veux m’en parler Ă  cƓur ouvert je serais lĂ  pour t’écouter sans te juger. Ce n’est pas mon rĂŽle de te juger. Je tiens fort Ă  toi et je veux te soutenir, t’aider Ă  avancer sans t’enfoncer. Re On pique une petite tĂȘte ? Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Previousarticle legerement ivre 5 lettres. Author: Related Post [Evenement Partenaire] Data Revolution Tour 2020 Qlik. Posted on 7 octobre 2020 7 octobre 2020 by Polarys. Polarys vous souhaite une excellente annĂ©e 2019 ! Posted on 7 janvier 2019 by Polarys. Une nouvelle annĂ©e commence ! Toute l'Ă©quipe Polarys vous ConfidentialitĂ© Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours DĂ©fense contre les Forces du Mal Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Mar 13 Oct - 2007 Lorsqu'elle s'adressa Ă  lui, son cousin eut l'air surprit. Il faut dire que les deux jeunes gens s'Ă©taient revu il y a peu de temps, ne sachant pas que l'autre Ă©tait Ă©galement Ă  Poudlard, et la vĂ©ritĂ© avait Ă©clatĂ© suite Ă  un ... accident. Il Ă©tait donc plutĂŽt logique que le garçon soit encore surprit de sa prĂ©sence. Il faut dire que la jeune fille n'Ă©tait pas non plus tout Ă  fait habituĂ©e. Jusque lĂ , le monde magique et son monde "familiale" Ă©taient deux ensembles sĂ©parĂ©s. IntĂ©grer une partie de son passĂ© dans son prĂ©sent Ă©tait loin de lui dĂ©plaire, mais cela rendait les choses que son cousin allait lui rĂ©pondre, sa voisine s'adressa Ă  Gilraen d'un ton amical - Salut ! Comment tu t'appelles ? Moi c'est Amy, de Serdaigle. Tu es une amie de Leo ?La lionne rĂ©alisa alors qu'elle n'avait mĂȘme pas saluĂ© Amy alors que celle-ci Ă©tait clairement entrain de parler avec LĂ©o. Ce n'Ă©tait pas son genre d'ĂȘtre impolie, mais les circonstances Ă©tant ce qu'elles Ă©taient, elle avait occultĂ© ce dĂ©tail. Souhaitant se racheter, la jeune fille esquissa un sourire et s’appĂ©ta Ă  rĂ©pondre quand son cousin la devança - Excuse-moi Amy, je n'ai pas pensĂ© Ă  t'en parler, Je te prĂ©sente Gilraen, ma la Serdaigle sympathique, et n'Ă©tant de toute façon pas de nature timide, Gilraen poursuivi sur la lancĂ©e et se prĂ©senta - Salut ! Je suis dĂ©solĂ©e de ne pas t'avoir dit bonjour plus tĂŽt, je suis encore surprise de croiser LĂ©o ici ... Il y a encore quelques jours, je pensais qu'il Ă©tait dans une Ă©cole moldue ...Elle se rendit alors compte qu'elle reprenait sa mauvaise manie de raconter un peu trop sa vie. Elle se reprit alors et conclu - Bref, je suis enchantĂ©e Amy !Elle posa ensuite sa question concernant le sujet du cours et LĂ©o lui rĂ©pondit - J'imagine que l'on va Ă©tudier les Patronus, il s'agit d'un sort de protection, qui permet non seulement de repousser les dĂ©traqueurs, d'oĂč le jeu de mot je suppose, mais aussi de dĂ©livrer des messages...Les quelques conversations qu'elle avait entendu en arrivant lui revinrent en mĂ©moire. Alors c'Ă©tait ça, les dĂ©traqueurs Ă©taient les fameux gardiens malĂ©fiques de la prison des sorciers. Ce que les autres Ă©lĂšves disaient d'eux faisait froid dans le dos et la jeune fille espĂ©ra qu'aucune de ces crĂ©atures ne seraient prĂ©sentes pour le cours. L'idĂ©e de dĂ©livrer des messages Ă©tait, d'aprĂšs elle, beaucoup plus allĂ©chant. Mais on Ă©tait en cours de dĂ©fense contre les forces du mal ... Et les dĂ©traqueurs Ă©taient le mal Vous ne pensez quand-mĂȘme pas qu'ils vont faire entrer des dĂ©traqueurs dans l'Ă©cole ? On peut s'entrainer sans cible pour ce sortilĂšge ? Hayleah MoonroseGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Hayleah Moonrose, le Mar 13 Oct - 2233 Aujourd'hui Ă©tait un jour particulier. Enfin, oui, enfin ! Hayleah allait assister au premier cours de DĂ©fense Contre les Forces du Mal de cette nouvelle annĂ©e scolaire ! C'Ă©tait sans nul doute sa matiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e, et elle Ă©tait plus qu'impatiente de s'y rendre. Exceptionnellement, le cours ne se dĂ©roulerait pas dans la salle de DCFM habituelle mais dans une autre salle, beaucoup plus grande, situĂ©e au quatriĂšme Ă©tage. Ce n'Ă©tait rien par rapport Ă  la salle de Divination, situĂ©e au sommet de la Tour Nord mais tout de mĂȘme, ce n'Ă©tait pas une promenade de santĂ©. En sifflotant, la sixiĂšme annĂ©e enfila son uniforme et sa robe de sorciĂšre, puis, armĂ©e de sa baguette en acacia et pĂ©tale d'iris, se dirigea vers la salle de classe. Il Ă©tait rare qu'elle soit de bonne humeur de si bon matin, mais vraiment, elle avait hĂąte de commencer. Alors qu'elle montait les marches d'escaliers qui semblaient n'en plus finir, elle s'imagina quel genre de sujet allait ĂȘtre abordĂ© cette fois-ci. Les loups garous ? Les trolls ? Ou bien 
les dĂ©traqueurs ? Hayleah espĂ©rait vraiment qu'ils s'entraineraient Ă  produire des patronus. Elle avait dĂ©jĂ  essayĂ© plusieurs fois, mais elle n'avait jamais rĂ©ussi Ă  faire sortir de sa baguette plus qu'une fine brume blanche. C'Ă©tait frustrant. TrĂšs frustrant. Et elle n'aimait pas ĂȘtre frustrĂ©e. Lorsque la jeune fille arriva devant la porte de la salle de classe, elle put distinguer diffĂ©rentes voix. Beaucoup de diffĂ©rentes voix. Craignant subitement, d'ĂȘtre en retard, elle ouvrit la porte Ă  la volĂ©e et s'exclama - Excusez-moi d'ĂȘtre en retard professeur ! Euh, bonjour !Il fallait toujours qu'elle se paye la honte lorsqu'elle Ă©tait stressĂ©e. Avec un sourire maladroit, la sorciĂšre balaya la salle du regard. Les murs Ă©taient tapissĂ©s de miroirs, ce qui donnait l'impression que la salle s'Ă©tendait Ă  l'infini. Au fond de la salle, le titre du cours Ă©taient inscrits en lettre de feu Patronus DĂ©traquĂ©s. Hayleah ne put rĂ©primer sa joie et laissa Ă©chapper un "Yes !" Puis, elle reconnut un visage, non loin de lĂ  oĂč elle se trouvait. Elle s'approcha. Oui, c'Ă©tait bien Gilraen ! Elles s'Ă©taient rencontrĂ©es quelque temps auparavant Ă  la table des Gryffondors, et Hayleah lui avait prĂȘtĂ© un exemplaire du dernier livre de sa mĂšre. Elle Ă©tait en train de discuter avec un autre Gryffondor qu'elle connaissait de vue, Leo, et une Serdaigle qu'elle ne connaissait pas. Elle s'approcha du petit groupe d'un pas enjouĂ©, pile au moment oĂč Gilraen demandait - Vous ne pensez quand-mĂȘme pas qu'ils vont faire entrer des dĂ©traqueurs dans l'Ă©cole ? On peut s'entrainer sans cible pour ce sortilĂšge ?- Salut tout le monde ~, lança-t-elle en agita la main pour faire coucou. Je suis surprise de te voir ici Gilraen !Hayleah Ă©tait arrivĂ©e comme un cheveux sur la soupe. Bien jouĂ©...Elle lança un sourire gĂȘnĂ© Ă  ses trois camarades, puis, comme si de rien n'Ă©tait, rĂ©pondu Ă  la question de la premiĂšre annĂ©e - Oui, je crois qu'on peut s'entrainer sans cible et je ne pense pas qu'ils feraient entrer de vrais dĂ©traqueurs
Enfin j'espĂšre. Puis, dĂ©signant l'armoire au fond de la salle, elle ajouta Je pencherais plutĂŽt pour un Ă©pouvantard ! Elle se souvenait bien de la sa premiĂšre rencontre avec un Ă©pouvantard. Ça avait Ă©tĂ© horrible. Les Ă©pouvantards pouvaient prendre n'importe quelle forme et Ă©tait connus pour se cacher dans des endroits sombres et Ă©troits, comme des armoires ou des tiroirs. C'Ă©tait donc tout Ă  fait plausible. Hayleah se tourna alors vers Leo et la Serdaigle et leur demanda Qu'est-ce que vous en pensez ? InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Mar 13 Oct - 2334 - Je vous prĂ©sente Siobhan c'est aussi une Serdaigle. Je pense qu'elle a rĂ©pondu Ă  une partie des questions du coup. Et pour te rĂ©pondre Harmony, les dĂ©traqueurs sont les anciens gardiens de la prison des sorciers un truc comme ça. C'est Siobhan qui m'en a parlĂ© avant ton arriver. C'est vrai que c'est bizarre d'ĂȘtre acceptĂ© dans un cours pareil en vue de notre Ăąge...Vous m'avez l'air bien tendu tous les deux, il s'est passĂ© quelque chose ?Mince, c'est vrai qu'elle ne s'Ă©tait pas prĂ©sentĂ©e. Elle se sentait bĂȘte, c'est ce qui arrivait souvent lorsque elle devait interagir avec des reprĂ©sentants de son espĂšce, le social n'Ă©tait pas vraiment sa tasse de Guinness. Elle acquiesça doucement aux propos de sa jeune camarade, presque imperceptiblement et se para d'un lĂ©ger EnchantĂ©e Siobhan ! Les dĂ©traqueurs sont d'anciens gardiens de prison ? Comme celle d'Azkaban ? Mais pourquoi le professeur nous ferais affronter ça ? Harmony regarda un instant ses pieds, gĂȘnĂ©e, et, jetant rapidement un Ɠil Ă  criniĂšre-d'or-blanc dit doucement Eh bien... On s'est rencontrĂ© au Lac un week-end et LĂŻnwe s'est disputĂ© avec ma sƓur... Un longue histoire... - EnchantĂ©e aussi ! Fit-elle en souriant. L'Irlandaise remarqua que l'expression de sa camarade Serdaigle avait changĂ©e, et bien plus encore lorsque elle se mit Ă  parler de la dispute. En mĂȘme temps, il fallait ĂȘtre un sacrĂ© dĂ©bile pour ne pas voir ce qui Ă©tait juste lĂ  sous leurs yeux. Voulant un peu dĂ©tendre l'atmosphĂšre elle murmura Ă  l'attention d'Harmony, mais assez haut pour que ses camarade proche puissent l'entendre, elle avait de la peine pour ces jeunes gens et bien qu'elle soit d'un naturel insouciant -ou plutĂŽt elle ne se souciait que de ce qui mĂ©ritait qu'on s'en soucie- elle commençait Ă  angoisser Ă  l'idĂ©e de ce qu'il pouvait y avoir au final Ă  l'intĂ©rieur de cette mystĂ©rieuse armoire. THE mystĂ©rieuse armoire. Entre autre oui. J'ai lu des choses lĂ  dessus, mais je n'en ai jamais vu. Peut-ĂȘtre qu'ils ont tout bonnement disparus ou qu'ils vivent -ou persistent... ?- tous Ă  un endroit cachĂ© des yeux de tous. Peu de chance que ça en soit un de toute maniĂšre. On peut s'entraĂźner au sortilĂšge du Patronus sans, logiquement...AprĂšs ces mots, le jeune homme timide de prĂ©cĂ©demment vint les accoster et cela Ă©tonna l'adolescente Ă  la chevelure de jais. Cependant, l'Ă©motion qui ne tarda pas Ă  l'envahir et Ă  la dominer, c'Ă©tait la dĂ©solation. A peine avait-il ouvert la bouche qu'il rĂ©duisait ses minces efforts pour dĂ©tendre la conversation Ă  nĂ©ant. Elle le regarda, perplexe, tandis qu'il EnchantĂ©, moi c'est Nel Queen. J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! Harmony perdit alors trois teinte, comme si toute la mĂ©lanine de sa peau s'Ă©tait fait la malle sans demander son reste. Elle rĂ©pondit au jeune homme d'une voix frisant l'horreur avant que Siobhan ne puisse rattraper la bourde. La pauvre... Ils peuvent... happer notre pouvoir ? Nous faire redevenir moldu ? Ils sont...terrifiants ! On ne peut pas les faire venir ici !- Non ! Enfin, si... Enfin... Mais il n'y aura sans doute pas de dĂ©traqueur ! ...Bien jouĂ© Siobhan. Quelle as, rassurer les gens... Ce n'Ă©tait pas Ă  sa portĂ©e ! Pas avec une cohorte d'adolescent autours en tout cas. Elle allait ouvrir la bouche lorsque elle se fit couper par la professeur qui, elle ne savait pas du tout comment, les avaient Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques. Elle resta c*nne sur le moment, cilla, et se demanda si elle avait bien entendu ce qu'elle avait entendu. En savoir plus, d'accord, elle n'avait pas fait Ă©talage de ses connaissances et avait peut-ĂȘtre enjolivĂ© les faits concernant les anciens gardiens d'Azkaban... Mais "la lĂ©gende" ? De quoi pouvait-elle bien parler ? Siobhan n'en avait aucune idĂ©e mais se reprit rapidement et rĂ©torqua avec toute l'assurance qui la caractĂ©risait et d'une voix sympathique, mĂ©lodieuse. NavrĂ©e Madame Boccini, j'Ă©tais pourtant convaincue que les livres que l'on trouve Ă  la bibliothĂšque n'Ă©taient pas des romans fantaisiste du mĂȘme acabit que les articles du Chicaneur, je resterais sur mes gardes la prochaine fois, et dans le doute, viendrais prendre conseil auprĂšs d'une personne qualifiĂ©e. Merci, et dĂ©solĂ©e, ça ne se reproduira plus. Se tournant alors vers ses nouveaux camarades elle rajouta Ă  leurs attention, sur le mĂȘme ton que prĂ©cĂ©demment, trĂšs sĂ©rieuse J'ai cinq kilos de papier toilette Ă  vendre au fait, top qualitĂ©, protĂ©gĂ© par une Ă©paisseur de cuir. Ca intĂ©resse quelqu'un ? La jeune fille se surprit elle mĂȘme, jamais elle n'avait eu Ă  ĂȘtre aussi insolente tout en restant aussi respectueuse, tout comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© aussi bonne comĂ©dienne de sa vie. Elle se tourna alors vers Nel et inclina lĂ©gĂšrement la tĂȘte. Oh, au cas oĂč tu n'ai pas entendu, je m'appelle Siobhan, enchantĂ©e. Nel, c'est un prĂ©nom d'origine Allemande non ? Mordecai MagnussenGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Mordecai Magnussen, le Mer 14 Oct - 1146 Les trois mots que Jacob retiendrait pendant cette journĂ©e - malheureusement - inoubliable? Hibou, TĂȘte, et fois, la sonnerie de son rĂ©veil-hibou avait retenti. Trois fois, Jacob avait choisi de l'ignorer, dans sa transe de mi-sommeil, ne trouvant ni la force, ni la volontĂ© de s'arracher Ă  l'agrĂ©able chaleur qu'avaient capturĂ© les draps et les couvertures. Le Gryffondor savait pertinemment qu'il avait cours seulement, il comptait sur un " pardon-je-le-referai-plus-promis " machinal pour se tirer d'affaire. Jusqu'ici, tout allait bien pour Jacob les rĂ©veils-hiboux? Le son de cette merveille augmente au fur et Ă  mesure que le rĂ©veil sonne. Si on ne l'arrĂȘte pas trĂšs vite, ce rĂ©veil peut causer des troubles auditifs en gĂ©nĂ©ral, c'Ă©tait ce qui motivait les plus paresseux Ă  se tirer du lit . Le hibou passe d'un hululement sonore Ă  la premiĂšre sonnerie, un cri plus fort Ă  la seconde, et Ă  la troisiĂšme....HUYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY!!!!!!!!Jacob sursauta si brusquement que son crĂąne rencontra la rambarde de son lit. Un bruit de collision Ă©touffĂ© se fit entendre. Les jurons du jeune Gryffondor, eux, furent bien plus distincts. Il continuait Ă  dĂ©verser des flopĂ©es d'injures, en dansant de douleur Ă  travers le dortoir, jusqu'Ă  ce que la douleur finisse par s'Ă©clipser. Il se laissa tomber finalement sur son matelas, la . Rien de tel pour commencer la journĂ©e qu'une bosse sur le crĂąne. Jacob passa la main dans ses cheveux Ă©bouriffĂ©s, et sentit en effet une protubĂ©rance Ă  l'endroit de l'impact. Il poussa un soupir, puis tourna la tĂȘte vers le rĂ©veil-hibou, avant de l'envoyer valser d'un revers de main rageur. Il ramassa sa chemise qui traĂźnait sur le sol depuis deux jours le week-end, Jacob avait l'Ă©trange habitude de ne plus donner quelconque intĂ©rĂȘt Ă  ses affaires , l'enfila, la boutonna, puis attacha sa cravate, et enfin revĂȘtit sa robe de sorcier aux bords devait se dĂ©pĂȘcher il Ă©tait VRAIMENT en retard, compte tenu de la position de la salle commune par rapport Ă  celle de la salle de DCFM. Il traversa son dortoir au pas de course, attrapant sa sacoche au passage, et descendit quatre Ă  quatre les escaliers qui conduisaient Ă  la salle commune des Gryffons. Vide, Ă©videmment. La piĂšce avait le pouvoir de conserver une atmosphĂšre chaleureuse mĂȘme vide, sans feu, en hiver, Ă  six heures et demie du matin. C'Ă©tait en songeant Ă  ce genre de choses que Jacob Ă©tait heureux de s'ĂȘtre retrouvĂ© Ă  Gryffondor. merci Choixpeau Mais il n'avait pas le temps de penser Ă  ce genre de choses il franchit la salle en trois secondes. Il descendit les grands escaliers le plus rapidement qu'il put - la direction qu'ils prenaient ne dĂ©pendait pas de lui - il maudit Ă  voix haute ces foutus Ă©tages et l'imbĂ©cile qui les avait enchantĂ©s. En se concentrant bien, et prenant les bons escaliers un exercice beaucoup plus difficile qu'il n'y paraissait il parvint Ă  accĂ©der au quatriĂšme Ă©tage. Jacob gravit les escaliers quatre Ă  quatre, s'aidant de la rampe pour gagner un peu de vitesse il allait se faire terrasser par finit par atteindre la porte de la salle, essoufflĂ© ; il frappa a la porte avant d'entrer. Il rĂ©cita ses "excuses" sans rĂ©flĂ©chir, et Ă  sa grande surprise, Miss Boccini l'autorisa Ă  accĂ©der au cours sans problĂšmes. Tant mieux pour Jacob. Il esquissa un " merci, Miss " et, se rĂ©jouissant Ă  l'avance du confort d'une bonne vieille chaise en bois ou poser ses fesses, le Lion constata avec surprise que les chaises et les bureaux de la salle avaient disparu. Il haussa un sourcil. Il fallait s'attendre Ă  tout, lors des travaux pratiques de la DĂ©fense contre les Forces du Mal. MĂȘme Ă  l'absence d'un tableau, et le titre du cours Ă©crit en LETTRES DE FLAMMES. Boccini n'avait pas fait dans la finesse, cette fois. NĂ©anmoins, Jacob se questionnait sur le thĂšme du cours....Epouvantards, peut-ĂȘtre? Le lion avait hĂąte d'en savoir examina les Ă©lĂšves prĂ©sents aucune tĂȘte ne lui revenait. Il allait passer un cours seul? Bon, peut-ĂȘtre qu'il rencontrerait des gens cette fois. Il fallait dire qu'il n'avait pas des masses d'amis. Il constata avec amusement que le cours ne composait que d'un seul Pouffy. Un sourire discret se dessina sur son visage lorsqu'il vit le pauvre Poufsouffle, un peu Ă  l'Ă©cart, l'air vaguement gĂȘnĂ©. Shela DiggleSerpentard Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Shela Diggle, le Mer 14 Oct - 1744 Pas le genre de gens Ă  ne pas tenir parole, certes. Mais celle-lĂ , j'pensais pas y arriver. J'pensais pas y arriver autant. N'exagĂ©rons rien. Je suis loin du compte. Surprise, alors ? Peut ĂȘtre. Je suis dans la demi-mesure. Entre-deux. Perdue sur une corde tendue au-dessus de l'inconnu. DĂ©sespĂ©rant. Mais toutefois pas dĂ©sespĂ©rĂ©e. MĂȘme d'humeur aimable. Un peu Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, peut ĂȘtre. LĂ  mais pas tout Ă  fait. Certainement pas dans ou sur la lune, expression stupide, mais pas non plus dans cette enveloppe qu'est le corps. Entre les deux. Je crois. Aucune idĂ©e. La seule chose qui aurait pu m'arracher une grimace aurait Ă©tĂ© devoir remercier une certaine personne. Pas que j'n'en ai pas envie. C'est seulement... Et puis zut, pas comme si j'devais des explications. Comme si j'n'Ă©tais pas au courant, tiens, il n'y a qu'Ă  moi que je rabĂąche sans cesse les mĂȘmes histoires. Mes histoires. Celles que je vis, et celles que j'invente. Je lĂąchais un cordial salut Ă  Boccini en entrant dans la salle, vaste piĂšce tapissĂ©e de miroirs. IntĂ©ressant. J'avais pas d'autre mot, parce qu'en vĂ©ritĂ© c'n'Ă©tait pas une idĂ©e que j'estimais plus que ça; des miroirs partout, nos reflets partout, impossible de dissimuler quoi que ce soit, en somme. Mais j'n'avais pas envie de changer aussi vite d'Ă©tat d'esprit pour une si petite chose. On allait faire avec. J'ai pas mauvaise mine, y'a pas de problĂšme, et l'thĂšme du cours sympathique. Patronus, vous dites ? Fait longtemps que je n'en ai pas eu usage, en y rĂ©flĂ©chissant. Quant au mot dĂ©traquĂ©, j'avais du mal Ă  l'allier Ă  la boule d'Ă©nergie positive que reprĂ©sentait ce sortilĂšge. Oh wait. Etre d'humeur tranquille suffisait pas Ă  en crĂ©er un, si ? Il allait falloir forcer, apparemment. Pas gĂ©nial, mais chut, tant pis, on fera avec. Pas besoin de tout foutre en l'air en chuchotant l'incantation permettant Ă  ce petit monstre de grimper sur mes Ă©paules. Assez vue, cette bĂȘte. Mieux vaut la garder loin de soi. J'avais d'ailleurs remarquĂ© qu'elle avait tendance Ă  rĂ©apparaitre plus souvent depuis que je tentais de la tenir, cette foutue parole. Des gamins. Pas seulement, mais beaucoup de trolls sous l'Ăąge lĂ©gal avec lequel on pouvait se permettre d'aller un peu plus loin. Et Arcturus, aussi. Un chic type. Contrairement Ă  Roch. SincĂšrement, le jeune homme n'Ă©tait pas un mauvais bougre, la derniĂšre fois qu'on s'Ă©tait adressĂ© la parole, c'Ă©tait avec des trucs consommables qu'il avait achetĂ© pour d'autres que lui. Ah, tiens, la petite lĂ -bas, cheveux noirs, l'air pas trop asociale et n'entrant pourtant dans aucune des vives discussions qui emplissaient la salle - et le champ auditif. Mmh, pourquoi pas ? AprĂšs tout, je n'vois pas d'inconvĂ©nients Ă  se montrer chouette prĂ©fĂšte Ă  un membre de sa maison, me rappelle vaguement de sa bouille de nouvelle de cette annĂ©e. Thia- Salut. DĂ©jĂ  entrainĂ©e au maniement de la baguette ? Rooh, allez quoi, vu son Ăąge, elle ne pourrait saisir un sens figurĂ© Ă  cette phrase. Un simple bonjour, j'vous jure. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !LĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 14 Oct - 2321 Harmony se faufila derriĂšre Elena et LĂŻnwe. A priori, elle venait d'entendre leur conversation puisqu'elle salua rapidement les deux Ă©lĂšves avant de rĂ©pliquer- Bonjour Elena ! Coucou LĂŻnwe ! J'ai hĂąte aussi de voir ce qu'on va bien pouvoir faire ! Un dĂ©traqueur... Un dĂ©traqueur... Qu'est ce que c'est dĂ©jĂ  ?Aaah... si elle savait, elle ne les questionnerait pas dessus, c'Ă©tait certain. Les dĂ©traqueurs. C'Ă©tait sans doute l'une des pires crĂ©atures qui existent en ce monde, sans contestĂ©. Elles aspiraient progressivement l'Ăąme d'un ĂȘtre humain et prenaient tous leurs souvenirs heureux. Seule consĂ©quence possible la folie. Rien qu'en y pensant, le Gryffondor frissonna de la tĂȘte au pied. Il n'eut pas besoin de rĂ©pondre Ă  la jeune Serdaigle, les autres autour d'eux l'avaient aussi entendus et n'hĂ©sitĂšrent pas une seule seconde Ă  lui rĂ©pondre, prenant sĂ»rement plaisir Ă  raconter ce genre de choses- Bonjour ! Waouw, dĂ©cidĂ©ment je n'ai pas fini d'ĂȘtre surprise aujourd'hui... Vous semblez plutĂŽt jeune pour participer Ă  un cours portant sur les dĂ©traqueurs et sans doute les Moremplis, et tout ce qui y touche... Enfin, ne le prenez pas mal... Mais en gĂ©nĂ©ral on n'apprend ces choses lĂ  que bien plus tard... J'espĂšre pour vous que vous avez l'estomac bien accrochĂ© ! rĂ©pondit l'un des Ă©lĂšves, une Serdaigle bien plus ĂągĂ©e qu'eux trois.*Jeune ? Il n'y a pas d'Ăąge pour apprendre ce genre de choses... nan mais oh, faut pas nous prendre pour des blaireaux non plus* s'Ă©nerva intĂ©rieurement le garçon. Certes, ça allait ĂȘtre plus dur pour eux que les septiĂšmes annĂ©es par exemple, mais ça ne servait Ă  rien de les rĂ©duire en poussiĂšre avant mĂȘme que le cours ne commence. - Je vous prĂ©sente Siobhan c'est aussi une Serdaigle. Je pense qu'elle a rĂ©pondu Ă  une partie des questions du coup. Et pour te rĂ©pondre Harmony, les dĂ©traqueurs sont les anciens gardiens de la prison des sorciers un truc comme ça. C'est Siobhan qui m'en a parlĂ© avant ton arriver. C'est vrai que c'est bizarre d'ĂȘtre acceptĂ© dans un cours pareil en vue de notre Ăąge... expliqua se contentait d'Ă©couter les Serdaigles avant de dire quoi que se soit, il prĂ©servait surtout l'attention. - J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! intervint un jeune homme de Poufsouffle, lĂ©gĂšrement plus vieux que le lionceau. Visiblement, celui-ci n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise. Soit avec les gens, soit avec les dĂ©traqueurs ou soit avec la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, Ă  voir. - Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques, s'exclama la prof.*Wah, elle a du caractĂšre* ne put s'empĂȘcher d'analyser LĂŻnwe. Toutefois, il se demandait qu'est-ce qui n'Ă©tait pas vrai c'est ainsi qu'il resta quelques minutes pendant que la dite Siobhan se rĂ©pandait en excuses trop exagĂ©rĂ©es. Soudain, il se rappela une phrase du seul Poufsouffle prĂ©sent dans la salle Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents ? »- Euh... Nel ? risqua-t-il. Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta cours allait bientĂŽt commencer, les derniers Ă©lĂšves arrivaient au pas de course, quelque peu essoufflĂ©s. Il y avait toujours des retardataires mais LĂŻnwe ne pouvait leur en vouloir, pour ĂȘtre lui aussi passĂ© par lĂ  plus d'une fois. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1522 - Merci pour cette rĂ©ponse LĂŻnwe. Et non, c'est typiquement sĂ»r, les lĂ©gendes servent Ă  impressionner ses camarades et influer leur imagination. Je sais bien qu'un dĂ©traqueur est une crĂ©ature des tĂ©nĂšbres. Masse noire de forme humaine, vĂȘtu d'une cape et se nourrir de la joie des personnes et on ressent comme un grand vide, un dĂ©sespoir... Ai-je raison ? Je ne le sais pas et je ne m'affirme pas devant la classe. Je laisse planer le doute. Le cours va bientĂŽt dĂ©buter et mon cƓur bat une mesure que je ne contrĂŽle pas. Sourire gĂȘnĂ© vers Siobhan, ça commence bien avec nous deux. La prof nous rĂ©primande lĂ©gĂšrement, mais je n'en tiens pas rigueur. Je continue discrĂštement Ă  manger mes friandises d'un air innocent. La gourmandise, c'est connu chez les PouffycĂąlineurs. Peu Ă  peu, je me rapprochais du groupe des serdaigles en dĂ©laissant les serpentards que je n'apprĂ©cie pas du tout. Et sur le ton de l'humour, je leur lance une petite HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Regard innocent, sourire aux commissures... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1827 Alors qu'elle regardait le Pouffy, Harmony prit la parole. Elena remarqua rapidement qu'elle Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise aprĂšs ce qu'avait dit Sio. Elle l'Ă©couta parler sans dĂ©tourner le EnchantĂ©e Siobhan ! Les dĂ©traqueurs sont d'anciens gardiens de prison ? Comme celle d'Azkaban ? Mais pourquoi le professeur nous ferais affronter ça ? Puis elle rĂ©pondit Ă  la question au sujet de LĂŻnwe. - Eh bien... On s'est rencontrĂ© au Lac un week-end et LĂŻnwe s'est disputĂ© avec ma sƓur... Un longue histoire... La jeune aigle n'ajouta pas de commentaire, elle s'en voulait dĂ©jĂ  d'avoir parlĂ© du sujet et avait bien compris qu'Harmony regrettait la situation. ApprĂ©ciant son amie autant que le Gryffondor, elle espĂ©ra que ça s'arrange rapidement et que la conversation entre eux-deux soit aussi fluide que ça l'Ă©tait pour entreprit de rĂ©pondre Ă  ses questions tout en essayant apparemment de dĂ©tendre l'atmosphĂšre. - Entre autre oui. J'ai lu des choses lĂ  dessus, mais je n'en ai jamais vu. Peut-ĂȘtre qu'ils ont tout bonnement disparus ou qu'ils vivent -ou persistent... ?- tous Ă  un endroit cachĂ© des yeux de tous. Peu de chance que ça en soit un de toute maniĂšre. On peut s'entraĂźner au sortilĂšge du Patronus sans, logiquement...Elena n'eut pas eu Ă  dire mot pour que le Poufsouffle ce joigne Ă  eux. Il avait du comprendre qu'aucun d'entre eux n'allait le manger et qu'il pouvait donc rejoindre la conversation plutĂŽt que rester EnchantĂ©, moi c'est Nel Queen. J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! Il n'en fallut pas plus pour qu'Harmony ressemble Ă  un fantĂŽme. Aussi pĂąle qu'un cachet d' Ils peuvent... happer notre pouvoir ? Nous faire redevenir moldu ? Ils sont...terrifiants ! On ne peut pas les faire venir ici !La grande aigle essaya de nouveau de rassurer sans grande Non ! Enfin, si... Enfin... Mais il n'y aura sans doute pas de dĂ©traqueur ! Puis la gros choque. La prof qui repend Sio et Nel d'un coup. - Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques. Elena fĂ»t tellement choquer qu'elle n’aperçut pas que d'autres Ă©lĂšves entrer ou parler. Elle ne savait pas si elle devait rire ou se retenir. Les paroles de Sio la sortirent de ses pensĂ©es. Elle esquissa mĂȘme un Ă©norme sourire en entendant - J'ai cinq kilos de papier toilette Ă  vendre au fait, top qualitĂ©, protĂ©gĂ© par une Ă©paisseur de cuir. Ça intĂ©resse quelqu'un ? Avant mĂȘme qu'elle eut le temps de proposer Ă  la grande Serdaigle d'y emprunter ses livres plutĂŽt que de s'en service de papier toilette, LĂŻnwe prit la parole pour rĂ©pondre Ă  une des questions qu'avait posĂ© le Euh... Nel ? Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta vie. Alors que le Poufsouffle remerciait le Gryffondor, Elena le regarda se rapprocher, mangeant continuellement des friandises. Et la le deuxiĂšme choque de la matinĂ©e. Elle qui avait eu la gentillesse de faire en sorte qu'il vient parler avec eux se permettait de se moquer ouvertement. - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Il n'en fallait pas plus pour la jeune fille, elle n'Ă©tait pas du genre vulgaire pour se dĂ©fendre ou Ă  taper en premier, elle avait appris Ă  utiliser les mots comme d'une arme. Elle ne se donna pas la peine de se rapprocher de lui, levant ses yeux, elle les plissa lĂ©gĂšrement et tout en forçant un sourire lui rĂ©pondit - Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Elle fit mine de chercher des Poufsouffle dans la salle. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1827 - Euh... Nel ? rĂ©pondit le jeune blondinet. Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta venait Ă  peine de le rencontrer mais elle ne l'apprĂ©ciait dĂ©jĂ  pas, par chance chez elle la premiĂšre impression ne faisait que la moitiĂ© de son jugement final. Une chose Ă©tait certaine, elle allait se mĂ©fier du lionceau. Enfin bref. La remarque de la prof' l'avait dĂ©jĂ  mise en rogne, elle Ă©tait dĂ©jĂ  pas mal irritable cette semaine mais lĂ  c'Ă©tait le ponpon, elle espĂ©rait que tout allait se passer pour le mieux par la suite et qu'elle n'aurait pas Ă  sortir de ses gonds pour de bon, sa maison Ă©tait derniĂšre, et sa causticitĂ© n'allait rien arranger si elle ouvrait la bouche et dĂ©versait sa colĂšre. Elle prit une grande inspiration et conserva son sourire pour se donner l'air calme, elle excellait dans ce Merci pour cette rĂ©ponse LĂŻnwe. Et non, c'est typiquement anglais. leurs rĂ©pondit le Poufsouffle avant d'ajouter Ă  l'attention des trois Serdaigles tout en se rapprochant d'elles, HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Siobhan Ă©carquilla les yeux et son sang ne fit qu'un tour. *Non... Il... Il n'a pas osĂ©... ?!* elle le foudroya littĂ©ralement du regard, et son expression glaciale aurait fait passer les vents d'Islande pour un sirocco ardent. Elle serra les dents et une flopĂ©e d'insultes classe et amĂšre lui vinrent Ă  l'esprit. *Pour qui il se prend celui lĂ  ?*Elle leva sa baguette et d'un geste sec la pointa vers lui lorsque un bref Ă©clair lumineux en jaillit, le jeune homme se retrouva propulsĂ© en arriĂšre et vint faire la bise au miroir derriĂšre lui ! C'Ă©tait un comble d'embrasser son reflet, lui qui semblait si imbus de lui mĂȘme !... Puis la sorciĂšre revint Ă  elle et regretta dĂ©jĂ  que ce ne soit que de simples pensĂ©e agrĂ©able. M*rde. Elle allait ouvrir la bouche mais Elena la devança, pour son plus grand Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Elle fit mine de chercher des Poufsouffle dans la salle. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de exulta intĂ©rieurement et fut Ă©patĂ©e de la rĂ©action de sa jeune camarade, si bien qu'un large sourire incontrĂŽlĂ© vint illuminer son visage. Elle rĂ©prima un rire et mua son expression faciale en un sourire en apparence plus doux mais qui pour les moins abrutis laissait voir une "pointe" mĂ©prisante. Elle rajouta alors sans qu'il n'ai le temps de rĂ©pondre Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1906 Massant ses joues dĂ©licatement avec une crĂšme hydratante, CĂ©lya observait ses yeux fatiguĂ©s. Il Ă©tait encore tĂŽt pour la jeune fille, qui n'avait pas passĂ© la meilleure des nuits. L'insomnie l'avait gagnĂ©e dĂšs lors qu'elle s'Ă©tait installĂ©e dans son lit et elle n'avait eu que des petits moments de sommeil qui n'avaient pas rĂ©ussi Ă  la requinquer. En plus, une des filles du dortoir ronflait, ce qui perturbait le calme de son insomnie. La blondinette bĂąilla et mit de l'anti-cernes, avant de se maquiller lĂ©gĂšrement les yeux et de passer un coup de gloss sur ses lĂšvres. Elle termina de se prĂ©parer en attachant ses cheveux en une demi-queue et enfila son uniforme. En se regardant dans le miroir, CĂ©lya trouva qu'elle avait une bonne mine mais ses yeux trahissaient sa prĂȘte pour attaquer une longue journĂ©e de cours, la bleu et bronze se rendit dans la Grande Salle oĂč son petit dĂ©jeuner l'attendait. Des Ɠufs sur le plat, des tartines grillĂ©s, de la confiture de fraise, du jus de citrouille et de l'eau. Ce fut un bon repas, qui remplit bien l'estomac de CĂ©lya, jusqu'Ă  la rendre presque lourde et ensommeillĂ©e. BĂąillant pour au moins la trentiĂšme fois depuis qu'elle Ă©tait levĂ©e, la blondinette monta jusqu'au quatriĂšme Ă©tage oĂč le cours de DĂ©fense contre les Forces du Mal Ă©tait donnĂ©. Le Professeur Boccini leur rĂ©servait encore une surprise, puisque son cours n'aurait pas lieu dans la salle de classe habituelle. CĂ©lya Ă©tait curieuse de connaĂźtre le thĂšme qu'elle avait entrant dans la fameuse salle, la blondinette fut complĂštement abasourdie. Il n'y avait pas de murs, ou du moins ceux-ci Ă©taient entiĂšrement recouverts de grands miroirs. Il y avait dĂ©jĂ  quelques Ă©lĂšves prĂ©sents, en petits groupes Ă©parpillĂ©s dans l'espace disponible. Avec les reflets, on aurait dit que la salle Ă©tait bondĂ©e. Il n'y avait aucune chaise, aucun banc, juste une grande armoire intrigante. CĂ©lya s'avança doucement, observant ses nombreux reflets. Elle n'aimait pas trop ça, mais bon... Bonjour Professeur ! » s'exclama-t-elle en passant devant la beautĂ© fatale blonde. Il y avait lĂ  une petite bande de Serdaigle, mais pas que. CĂ©lya s'en rapprocha, sentant qu'une certaine tension rĂ©gnait dans l'atmosphĂšre. Elle connaissait au moins tous les visages prĂ©sents, vu qu'elle avait Ă©tĂ© PrĂ©fĂšte jusqu'Ă  rĂ©cemment, mais elle ne parvenait pas Ă  remettre les noms. Salut par ici ! Alors, on fait des pronostics sur le contenu de l'armoire ? » fit-elle sur un ton fallait dire que sa curiositĂ© Ă©tait piquĂ©e Ă  vif. Une armoire, seule trĂŽnant au milieu d'une piĂšce remplie de miroirs... En laissant traĂźner son regard, CĂ©lya vit que des lettres de flammes indiquaient le thĂšme du cours. Les patronus ? Les DĂ©traqueurs ? Ha bah... elle n'avait pas vu plus tĂŽt l'inscription, et pourtant, elle Ă©tait quand mĂȘme voyante. Cela promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2026 Comme prĂ©vu, le serpentard Ă©tait arrivĂ© au cours en avance, et il attendait donc patiemment que le cours commence. Contre l'ennui, il avait toujours ses petits jeux », qui consistaient Ă  observer un peu en dĂ©tails les autres, ce qui l'amusait la plupart du temps. Mais cette fois-ci, il avait vite perdu patience. Rien de pire que de devoir subir les piaillement de ces petits idiots hystĂ©riques et ne sachant pas se tenir. Dans tous les sens les conversations fusaient Oh mon dieu, que crois-tu qu'il y ait dans cette armoire ? -Oh selon le titre du cours il se peut que ça soit un dĂ©traqueur ? - Mais c'est bien trop dangereux ! - Ah oui je ne sais pas. Tu crois qu'on va faire des patronus ? - Oulalah, c'ets bien trop compliquĂ© pour moi, je n'y arriverai jamais ! - E si ce n'est pas un dĂ©traqueur, qu'est-ce que ça peut-ĂȘtre ? - Mais c'est trop dangereux ! » Rajoutez la voix d'adolescente excitĂ©e et impatiente et vous aurez l'immonde tableau sonore que devait supporter le serpentard. Et lui, murĂ© dans son mutisme, attendait. Il aurait aimĂ© crier mais bon sang, arrĂȘtez de vous poser des questions stupides et attendez donc le dĂ©but du cours ! Vous saurez enfin ! Pas besoin de passer une heure dessus. Mais malheureusement pour lui il ne disait rien, histoire de pas se faire remarquer dĂšs le dĂ©but, et le blabla incessant continuait. Ah c'Ă©tait fou, il y avait lĂ  des adolescents bien plus grands que lui, et il avait l’impression qu'ils n'Ă©taient que des gamins excitĂ©s devant leur premier cours de magie. Bon, il y avait bien un petit poufsouffle qui paraissait bien jeune, et ses questions stupides pouvaient ĂȘtre excusĂ©es par son jeune Ăąge, mĂȘme s'il Ă©tait en faite plus vieux que Ted. Mais les autres s'en posaient des tout aussi stupides. Heureusement que le professeur fit elle-mĂȘme une petite rĂ©flexion, et dĂšs ce moment Ted sut qu'il passerait finalement un bon cours. Enfin, il priait tout de mĂȘme pour que ce dernier commence rapidement, histoire de fermer le clapet de ces aigles aux piaillements de poules effarouchĂ©es. Mais la situation changea quelque peu quand le jeune poufsouffle s'essaya Ă  un trait d'humour - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Hop ! Ni une ni deux, les aigles montaient sur leurs grands rochers, et ne se lacĂšrent point d'attaquer ce pauvre jeune homme, bec et serres. Ah c'Ă©tait ça vouloir faire une pique avec des imĂ©bciles. - Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? lança une premiĂšre bleu et bronze. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison. Et une autre nuĂ©e de coup arriva -Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Commença Ă  renchĂ©rir un seconde serdaigle. Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis... C'en Ă©tait trop. Il Ă©tait temps que quelqu'un de censĂ© s'en mĂȘle. Oh le jeune homme ne venait pas dĂ©fendre le poufsouffle, loin de lĂ  cette idĂ©e grotesque. Non, il voulait juste fermer le clapet de ces aigles un poil trop dĂ©sagrĂ©ables. Et puis pour remĂ©dier Ă  l'ennui, et moins attendre le dĂ©but du cours, rien de mieux que se mĂȘler un peu de la vie des autres, souvent guĂšre passionnante -Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Et pendant qu'il avait parlĂ© il avait bien fixĂ© les deux intĂ©ressĂ©s d'un regard foudroyant soit Siobhan et Elena, dont il ignorait pour l'instant le nom. Cela faisait longtemps qu'il en s'Ă©tait pas ainsi fĂąchĂ©. Maintenant il ne restait plus que le cours commence, et il passerait une bonne journĂ©e. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2150 - Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Siobhan resta perplexe sur le coup et avisa rapidement le jeune homme qui venait d'intervenir hĂ©roĂŻquement, quelle classe, quelle prestance, elle en aurait presque eu des chatouillis au bas ventre... Ou pas. Elle inspira calmement et le laissa s'exprimer librement sans sourciller, la mine paisible et plus dĂ©tendue que prĂ©cĂ©demment. *Un adversaire Ă  ma mesure ?* Peut-ĂȘtre que l'attente allait finalement ĂȘtre un brin divertissante. Ébauche de sourire, malice dans l'oeil, la belle Irlandaise rĂ©pondit sur un ton lĂ©ger, volubile comme Ă  son Quelle surprise, je vais finir par croire que le Choixpeau est Ă  cĂŽtĂ© de la plaque depuis un sacrĂ© bout d'temps, et ici, la seule chose mal rĂ©partie, c'est la tienne. Un Serpentard prenant la dĂ©fense d'un pauvre opprimĂ© ? Je dois me faire des idĂ©es, sans doute fais-tu cela uniquement dans le but de te sentir important ou bien ta bouche est-t'elle si pleine de conneries que tu doivent en dĂ©biter un flot continu pour ne pas t'Ă©touffer dans ton propre venin ? Si ça peut te rassurer tu fais honneur Ă  ta maison. Encore un sot qui se laisse berner par un ton et des mots et qui fait abstraction du langage corporels. Peu importe aprĂšs tout, inutile de faire Ă©talage de ces connaissances qui de toute Ă©vidence t'Ă©chappent, autant jouer aux Ă©checs avec une poule elle chiera sur le damier et au final se pavanera comme si elle avait gagnĂ©. En parlant de dictionnaire, tu iras chercher, avec l'aide de tes camarades si le besoin s'en fait sentir, le sens du mot "ironie" et peut-ĂȘtre que par la suite tu rĂ©flĂ©chiras Ă  deux fois avant d'intervenir et d'avoir l'air idiot. Je salue tout de mĂȘme l'essai. NĂ©anmoins permet-moi de te faire part d'un proverbe qui pourra te servir, dit-elle en se rapprochant lĂ©gĂšrement pour parler Ă  voix basse, mieux vaut se taire et passer pour un c*n que de l'ouvrir et n'en laisser aucun n'attendait pas de riposte, ou plutĂŽt elle s'en fichait carrĂ©ment et se dĂ©tourna de lui sans lui accorder un regar. Ca n'aurait pas Ă©tĂ© le premier gus Ă  lui chercher des noises, ni le premier Ă  user de mots pour tenter de l'abattre. Peu importe. Bien qu'elle trouvait son intervention inutile et vaine, elle avait nĂ©anmoins au fond d'elle une certaine admiration pour le jeune homme, jouter avec le langage ne s'invente pas et aussi mĂ©diocre Ă©tait-il, il avait le mĂ©rite d'avoir essayĂ©. Siobhan inspira finalement Ă  pleins poumons et gonfla sa poitrine, l'attention que lui avait demandĂ© le sympathique Ă©change lui avait fait oublier ses angoisses et l'avait galvanisĂ©e. Mordecai MagnussenGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Mordecai Magnussen, le Jeu 15 Oct - 2159 Jacob, toujours seul dans son coin, Ă  esquisser dans sa tĂȘte des thĂ©ories sur le sujet du cours, entendit des voix monter sur sa droite. Il tourna la tĂȘte et vit la grappe d'Ă©lĂšves qu'il avait vus en entrant respectivement Nel, Siobhan, Elena Ă©changer un dĂ©bat pour le moins animĂ©. Deux Serdaigles aux yeux bleus Ă  l'air froid avaient l'air de s'acharner sur le pauvre Poufsouffle qui n'avait apparemment aucun Ă©lĂšve de sa maison sur lequel s'appuyer. Il Ă©tait tout Ă  fait vulnĂ©rable. Le Gryffondor se rapprocha afin de mieux entendre la nature de la Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? fit l'une des Serdaigles. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de bleu et bronze enchaĂźna aussi sec -Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ?. Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis...Wow, wow, wow! Ca partait carrĂ©ment en clash! Jacob, intĂ©ressĂ©, s'approcha, afin d'avoir l'na en mĂȘme temps qu'un Serpentard Ă©lancĂ© se joignait, lui aussi, la conversation. Une autre Serdaigle, qui succomba Ă  son tour Ă  la curiositĂ© Celya Le Serpentard prit la parole -Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Jacob Ă©clata de rire. C'Ă©tait le genre de tribune qu'il se dĂ©lectait de regarder. Il craignait cependant les reprĂ©sailles des Aigles. Elles n'avaient clairement pas l'air de plaisanter. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2256 Comme dit la bonne vieille devise de Poudlard ! Il ne faut pas chatouiller un dragon qui dort. Et encore moins un Pouffys Ă  l'attaque Ă©clair aussi impressionnante que la foudre qui s'abat sur terre en plein milieu d'une bruine qui vous perle la joue comme des larmes. Oui, comme des larmes causĂ© par l'ironie et l'esprit acĂ©rĂ© de Siobhan et Elena. Les friandises tombent de ma main, une poigne ferme qui se resserre et tremblote Ă  peine. La colĂšre, un sentiment que j'ai trĂšs peu ressenti et d'une pure Ă©nergie qui grandit en moi. La lumiĂšre s'Ă©veille, pas besoin d'images. Mon Ăąme se donne, mon esprit s'accorde dans un torrent violent. DĂ©couvert, tu t'exposes face Ă  moi. DĂ©sireux que je vienne pour me dĂ©vorer de tes paroles acerbes. Je sens la folie naĂźtre. Dans ce prĂ©lude des ĂȘtres, le combat fait rage. Je me morfonds, les Ă©clats vibrent dans la fureur. Symbole de notre ivresse, rien ne t'appartient de me suivre. Je sens ton esprit vide et dĂ©vĂȘtu. Affranchi de tout grabuge, j'entre-aperçois le refuge, resurgit tes passades frivoles de non-sens. Sensation d'un grand dĂ©sordre. Je m'Ă©vade dans l'inconnu, je lĂšve ma baguette. Electrocorpus !La misĂšre de mes jours resurgit pendant un cours instant. Le doute s'efface, le dĂ©mon s'Ă©chappe. Plus de chambre, plus de maison, un simple sort dĂ©vastateur qui vise Siobhan et cette fois, ce n'est pas qu'une pensĂ©e. Je passe Ă  l'acte ! Mon ĂȘtre vagabonde dans les mystĂ©rieux recoins de ma tĂȘte. A l'affĂ»t d'un souvenir rĂ©confortant. Je me saisis d'un instant qui pourrait effrayer les plus sensibles. VoilĂ  donc l'attaque Ă©clair d'un Pika ! A l'affĂ»t certain d'une rĂ©plique... Bien Ă©videmment, mon attaque n'est pas bien efficace pour blesser quelqu'un... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2329 Alors qu'elle venait tout juste de finir de parler, Sio' enchaĂźna Ă  la suite. Elle avait encore moins apprĂ©ciĂ© Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis...Alors qu'elle pensait que tout s'arrĂȘterait lĂ , Ă  sa bonne surprise un Serpentard dĂ©fendit Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Souhaitant prendre la parole, elle ce fit devancer par son amie qui ne ce laissa pas faire. Elena assista la scĂšne comme spectatrice. - Quelle surprise, je vais finir par croire que le Choixpeau est Ă  cĂŽtĂ© de la plaque depuis un sacrĂ© bout d'temps, et ici, la seule chose mal rĂ©partie, c'est la tienne. Un Serpentard prenant la dĂ©fense d'un pauvre opprimĂ© ? Je dois me faire des idĂ©es, sans doute fais-tu cela uniquement dans le but de te sentir important ou bien ta bouche est-t'elle si pleine de conneries que tu doivent en dĂ©biter un flot continu pour ne pas t'Ă©touffer dans ton propre venin ? Si ça peut te rassurer tu fais honneur Ă  ta maison. Encore un sot qui se laisse berner par un ton et des mots et qui fait abstraction du langage corporels. Peu importe aprĂšs tout, inutile de faire Ă©talage de ces connaissances qui de toute Ă©vidence t'Ă©chappent, autant jouer aux Ă©checs avec une poule elle chiera sur le damier et au final se pavanera comme si elle avait gagnĂ©. En parlant de dictionnaire, tu iras chercher, avec l'aide de tes camarades si le besoin s'en fait sentir, le sens du mot "ironie" et peut-ĂȘtre que par la suite tu rĂ©flĂ©chiras Ă  deux fois avant d'intervenir et d'avoir l'air idiot. Je salue tout de mĂȘme l'essai. NĂ©anmoins permet-moi de te faire part d'un proverbe qui pourra te servir, dit-elle en se rapprochant lĂ©gĂšrement pour parler Ă  voix basse, mieux vaut se taire et passer pour un c*n que de l'ouvrir et n'en laisser aucun doute. Alors que Siobhan tournait le dos, la jeune aigle entendit le Poufsouffle riposter mais, surement pas de la façon dont elle aurait pensĂ©. Au moment ou elle le vit lever sa baguette, Elena pris la sienne et riposta. Electrocorpus ! Protego !Elle n'Ă©tait pas vraiment choquer mais, ahuri de voir jusqu'ou avait dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© la situation. Prenant sur elle, la jeune sorciĂšre rĂ©pondit en premier lieu au Serpentard qui avait protĂ©gĂ© Écoute, c'Ă©tait certes une plaisanterie pour vous, mais ça reste provoquant et dĂ©nigrant pour nous en quelques sortes. Et en quoi le fait de riposter fait que, nous n'assumons pas notre maison ? Je suis fiĂšre d'ĂȘtre chez Serdaigle, sinon je ne serai pas ici Ă  vouloir apprendre. Puis elle se tourna vers le Poufsouffle. Quant Ă  toi, si tu as autant la gĂąchette facile Ă©vite de te moquer des autres sans penser aux consĂ©quences. Tu es peut-ĂȘtre plus grand que moi mais, ce n'est pas pour autant que je me laisserai faire. Le ton Ă©tait peut-ĂȘtre sur la plaisanterie mais, le sujet rester dĂ©licat et n'importe qui aurait pu s'en rendre compte. Nous sommes derniers en points oui c'est vrai, mais ce n'est sĂ»rement pas pour ça que nous venons assister au cours. Nous venons pour Ă©tudier comme toutes les personnes prĂ©sentes. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !LĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 15 Oct - 2357 - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous, railla soudain le seul Poufsouffle dans la lionceau arqua un sourcil. *WTF ? Eh beh... il en avait du culot pour dire cela, seul contre une petite bande de rapaces* Toutefois, qu'est-ce qu'espĂ©rait l'Ă©tudiant jaune et noir ? Un rire gĂ©nĂ©ral ? Attirer l'attention sur lui ? Se faire remarquer par la prof ? Ou encore, se faire peut ĂȘtre sĂ©questrer par les Serdaigles ? Bien Ă©trange façon de montrer ses valeurs en manquant aussi peu de respect envers ses camarades de il ne fallut pas longtemps pour que les bleus rĂ©pliquent d'une maniĂšre cinglante, le prenant... trĂšs mal. En mĂȘme temps, ça pouvait se comprendre mais ce qu'avait dit le garçon n'Ă©tait pas forcĂ©ment faux. C'Ă©tait un vrai match Ă  la maniĂšre de ce sport moldu qui se joue avec une raquette et une petite balle jaune et blanche. LĂŻnwe tournait lĂ©gĂšrement la tĂȘte de droite Ă  gauche pour observer les diffĂ©rentes rĂ©actions qui fusaient de toute Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison, lança Elena telle un aigle serrant contre lui sa Gryffondor arqua son sourcil encore plus haut, entre la surprise, le dĂ©goĂ»t et l'irritation. Il ne connaissait pas ce cĂŽtĂ© peu sympathique d'Elena, apparemment il ne fallait pas la chercher bien longtemps.*Les Serdaigles sont vraiment susceptibles...* Puis ce fut au tour de la septiĂšme annĂ©e, qui ne paraissait guĂšre sympathique Ă  LĂŻnweTes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-...Ah oui ? Vraiment ?... *Elle se sent vraiment plus celle-lĂ ...* se dit intĂ©rieurement le garçon. De premier abord, il ne l'avait pas tellement apprĂ©ciĂ©e, elle Ă©tait fausse. Le genre de personne qui te poignarde dans le dos avec ses serres lorsque le moment lui convient. A fortiori, elle pĂ©tait plus haut que sa baguette et ça, c'Ă©tait bien une chose que LĂŻnwe dĂ©testait chez les ton de la conversation Ă©tait de plus en plus tendu, le cours de DĂ©fense se transformait peu Ă  peu en garderie pour sorciers atteints d'hyper-agressivitĂ© et d'immaturitĂ©. Sentant que la scĂšne dĂ©gĂ©nĂ©rait, le rouge et or se dĂ©plaça lentement mais sĂ»rement vers la droite, esquivant les sorts qu'ils commençaient Ă  se lancer entre eux aprĂšs l'intervention d'un Serpentard. Ça n'allait guĂšre avancer le dĂ©bat... En fait, cela pouvait paraĂźtre attrayant, mais c'est un tout autre sentiment qui s'empara du premiĂšre annĂ©e celui de l'agacement. Tout ça l'irritait plus qu'autre chose. Il fallait Ă  tout prix que Madame Boccini intervienne avant que tous les miroirs de la salle de classe ne se brisent... Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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